Adaniel Meckza [validé]

Nom : Meckza

Prénom : Adaniel

Âge : 19 ans

Nationalité : Roumaine du coté de sa mère, Sibérique de celui de son père.

Race : humain

Arme : Il n'en a pas, il refuse la violence. Pour lui, elle est signe de faiblesse.

Métier :///


Ordre : Il n'a pas d'ordre en particulier...

Poste : Maître du couvent



Physique : Adaniel possède un charisme... Pour le moin peu commun! Certes, il est plutôt attirant, mais ce n'est pas plus dut par son physique à proprement parler que par son attitude, son port de tête et sa démarche.

Si il y a une chose qu'on oublie pas chez lui, c'est son allure de poupée de porcelaine. On pourrait croire que s'il tombe, son magnifique visage se brisera en milliard de morceaux aussi veloutés que son teint qui ne répértorie pas d'imperfection -du moins- aucune d'entre elle n'est visible... et qui pourrait voir l'invisible? Personne. Alors, disons qu'il n'a pas d'imperfections... En fait, non. Cette peau blanche n'est pas parfaite, vous pourrez confirmer ceci, par sa cicatrice rosée qui par de la fin de son oeil, pour s'arrêter vers le millieu de sa joue. Son dos, en est aussi recouvert... Merci l'orphelinat!

Autre chose de flagrant, c'est un parfait androgyne, ce qui continue de lui donner une apparence puérile de poupée, ce qu'il est loin d'être mentalement... En effet, il est grand et fait dans les un mètre quatre vingt cinq, pour une soixantaine de kilos - soixante cinq maximum... C'est loin d'être gros, n'est-ce pas? C'est même trop mince... Mais il a tout de même une fine musculature presque indétectable à travers ses vêtements, un peu plus sans ces tissus, mais c'est pas extraordinaire non plus! Ne vous attendez pas à voir un roi du body building...

Autour de son visage d'une finesse presque puérile, se trouve une chevelure blanche, légèrement rosée, assortie à son teint d'une pâleur mortelle. Ils lui arrivent en bas du cou, et sont toujours parfaitement démêlés, mais pas forcément coiffé, ce qui donne une impression de 'je viens de sortir de mon lit' qui lui va néanmoins à la quasi-perfection... Pourquoi quasi? Car rien ni personne n'est parfait, voilà tout.

Ses yeux, sont d'une forme très ronde. Pas en amande, mais ronds, tout simplement. On pourrait croire que c'est fait exprès, mais, comme un peu tout le reste de son corps ses iris possèdent une couleur rose très étrange... Il n'est pas rare que lorsque ce regard envoutant plonge en vous, vous soyez la cible de nombreux frissons, plus ou moins contrôlables. Pour compléter ce regard des plus magnifique, de longs cils noirs viennent compléter cet ensemble. Il est surprenant de voir des cils aussi noirs, car le reste de son corps est plutôt dans des teintes claires. Ces cils lui donnent un regard de biche encore plus envoutant... Au dessus de ces yeux ravissants, se trouvent des sourcils très noirs, aussi surprenant que ses cils de par leur couleur d'ébène. Ces sourcils forment toujours un arc parfait autour de ses yeux, qui ne laissent passer aucune émotion. On pourrait donc penser qu'il ne ressent jamais rien, mais ce n'est pas vrai, loin de là.

Caractère : Adaniel est un peu un être contradictoire... Explications

La méfiance... Cette émotion qui fait, qu'on est jamais tout à fait en confiance avec quelqu’un... Méfiance et confiance sont deux sentiments incompatibles, n'est-ce pas? Pourtant, Adaniel vit avec ces deux sentiments en simultané. Il est toujours méfiant au départ, mais il suffit de trouver les bons mots, les bons gestes, pour qu'Adaniel ne soi plus si méfiant que ça, pour qu'il se confie... Néanmoins, il garde toujours une once de méfiance, et ne sait jamais s'il doit tout dire ou non.

Il est aussi quelqu’un de non violent à l'extrême. Pour lui, la violence est signe de faiblesse et il ne l'est pas, donc il refuse d'être violent. Il pense que c'est tellement plus facile de frapper quelqu’un plutôt que d'essayer de résoudre ses propres problèmes par une voie pacifique... Mais il ne croit pas tellement en cela non plus. Pourquoi? Car s'il servait à quelque chose d'être bon, de prêcher la paix, ses parents seraient encore vivants et la vieille dame de l'orphelinat serait morte depuis bien longtemps [voir histoire]. Mais les cicatrices qu'il a sur tout le dos et sur le visage lui rappellent qu'il ne lèvera jamais la main sur qui que ce soit...

D'apparence, on le trouve mignon, on le pense fragile. Si on se rapproche un tout petit peu de lui, on le croit sévère et dur mais en se rapprochant encore un petit peu de lui, on se rend compte que c'est un jeune homme adorable toujours prêt à aider les autres s'il en a la possibilité et si ça ne risque pas de porter préjudice à une autre personne. Mais, en être contradictoire, il n'aidera pas si on ne lui demande pas. On ne peux donc pas dire qu'il soit un bon samaritain...

Finissons avec son plus grand défaut, sa susceptibilité des plus surprenantes. On peux dire quelque chose qui ne se veux pas méchant, mais il le prendra comme tel. Alors, évitez d'être trop déplacé dans vos paroles en sa présence, car s'il offre volontiers sa protection, il l'offre néanmoins moins facilement à ceux qu'il a dans le collimateur... Mais, heureusement, il n'est pas trop rancunier, mais ca dépend de ce qu'on lui a fait...

Aptitudes / particularités :


Passé : Il ne se rappelle plus où, ni exactement quand mais il est né, c'est sur. Il est né dans un des rares pays Européen qui ne soit pas trop touché par la troisième guerre mondiale, cette guerre si cruelle et dévastatrice.

Dans son enfance, il ne comprenait pas la guerre... Depuis quand lui est arrivé cette haine envers la violence? Un jour, il a vu un extrait de guerre à la télévision... Des gens éplorés, des enfants qui finissaient orphelin à quatre ans, son âge à ce moment là... Il se mit tout de suite à penser que tout ceux qui faisaient la guerre étaient des 'méchants', sans la moindre exception. Cette pensée donna lieu à une discussion entre lui et son père, alors qu'il n'avait que cinq ans... Pourquoi est-ce qu'il en avait parler à son père? Il ne se rappelait plus, mais c'est arrivé. Il se souvient qu'ils étaient assis sur un banc, c'était un matin de printemps. Son père lui avait expliquer un peu le sens de la guerre, lui disant qu'on pouvait faire la guerre de façon défensive. L'enfant ne compris pas, et le père lui expliqua que la guerre défensive, on ne la choisissait pas, mais on devait la faire pour survivre...

"Pourquoi on doit faire, des choses qu'on a pas envie de faire?"

L'interrogea l'enfant. Le jeune père d'environ 25 ans répondit avec perplexité

"Je ne sais pas mais c'est ainsi. Alors, autant faire avec, non?"

L'enfant hocha la tête, pour faire mine d'être d'accord. Le père lui ébouriffa tendrement les cheveux, et repartit vaquer à ses occupations. L'enfant resta plutôt perplexe... Il eut beau faire semblant de comprendre, il ne comprenait rien... Ce n'était pas clair pour lui, on ne devrait pas devoir faire certaines choses dont on a profondément pas envie... On ne devrait pas se battre entre être vivants. L'enfant était très pacifique. Comment ne pas l'être quand on est entouré de l'amour de deux parents qui prêchent la paix et la tolérance?

Les parents, partaient pour aller faire passer leur message de paix dans tout les pays en guerre. Triste jour pour Adaniel, qui avait beau leur demander de rester, ils ne voulaint pas.

"Alors emmenez moi avec vous!"

Demanda le pauvre enfant de six années maintenant en larmes. Sa mère le prit dans ses bras et le berça doucement avant de lui dire

"C'est trop dangereux..."

Les pleurs et sanglots redoublèrent

"Alors n'y allez pas!"

Et le père le prit dans ses bras, et le berça à son tour. Cela calma quelque peu l'enfant, mais pas totalement. Il lui doucement

"Ne t'inquiète pas..."

Il le berca et lui embrassa le front avant de le remettre au sol. Puis, les deux parents partirent, laissant l'enfant avec une gouvernante... Mais il faut vivre après tout, et c'est-ce qu'il fit, il continua à vivre pendant 2 ans au rythmes des nombreuses lettres de ses parents, mais il n'en reçut plus durant une année. Adaniel fut à la fois anéanti et en colère que ses parents ne lui écrivent plus, mais deux mois plus tard, il n'était plus en colère, mais tellement plus anéanti... Pourquoi?

Un jour, un homme qui semblait être de l'armée frappa à la porte. La gouvernante alla ouvrir en même temps que l'enfant. L'homme, pris un air grave quand on lui demanda la raison de sa venue... Mais que pouvait il donc se passer?

"Madame, je suis désolé de vous annoncer que monsieur et madame Meckza on été retrouvés mort, il y a un an."

Ce fut la fin de tout pour l'enfant. En entendant ces paroles, il ne savait plus qui il était où il était, c'était comme si on venait de lui ôter son âme. Mais ce n'était pas fini, loin de là, l'enfant était loin du lot de malheur qu'il vivrait tout au long de sa vie... Le messager donna une lettre signée de ses parents à Adaniel, et dit sans même une once de tristesse dans la voix

"Cette lettre, fut trouvée à coté de vos parents. Dedans, ils demandent que vous alliez dans un orphelinat."

Comment cet homme pouvait dire une chose pareille, qui anéantissait le monde du petit sans même cligner des yeux? Comment pouvait on le forcer à aller en orphelinat?! Il pourrait rester avec sa gouvernante non? Ce serait tellement mieux! Mais l'homme fut impartial, et ils partiraient dans l'heure. Il prit les affaires d'Adaniel, et l'enfant lui même puis le fit entrer dans un véhicule. Ensuite, il partirent vers un orphelinat non loin d'içi. Orphelinat sombre et lugubre, dans lequel il fut accueilli par une vieille dame qui l'était autant, avec son petit chignon et ses lunettes rondes elle aurait put avoir la bouille de la parfaite mamie gentille mais elle ne l'était pas, elle était foncièrement mauvaise et même plus! Les enfants? Elle les détestait. Si elle s'occupait d'un orphelinat, c'était pour mieux les faire souffrir bien qu'ils aient déjà eu leur lot de souffrances. Il fut donc maltraité, vous vous en doutez donc. Déjà, le premier jour lorsqu'il est entré elle à mis les choses aux clair. L'homme de l'armée étant partit elle prit le pauvre enfant par le col et le regarda avec ses yeux de vieille sorcière avant de lui dire

"Toi, je te sens pas comme mioche! Va laver la cuisine de suite!"

Et, toujours en le tenant par le col, et l'emmena à cette cuisine. L'enfant se sentait mal, elle l'étranglait... Il vient d'apprendre que ses parents sont morts, et en plus, il est étranglé par une vieille folle?! Super... De plus, lorsqu'ils furent arrivés à ladite cuisine, elle le jeta au sol sans ménagement, créant un énorme bleu sur l'avant bras de l'enfant et manquant de lui briser l'autre bras. L'enfant se mit tout de suite au travail et sortit d'un placard miteux un balai qui l'était autant. Puis il essaya de se débrouiller avec le reste du matériel mais ce fut difficile vu l'état des éléments de nettoyage mais le résultat était bon. Néanmoins la vieille bique n'apprécia pas du tout et emmena l'enfant par le col dans une pièce dont il se souviendra toujours... Une salle de torture. La monstruosité l'attacha sur une chaise, puis le fouetta une fois au visage formant une cicatrice sur la joue de l'enfant... Ça saignait énormément. Voyant ça, elle eut un petit sourire satisfait puis le prit par le col avant de le ramener dans sa 'chambre' si l' on peux appeler ça comme ça. C'était le dortoir commun, où vivait pas mal d'insectes étranges en colocation avec les enfants mais ce n'était sûrement pas les insectes les plus méchants... Il faut croire que les mauvais traitements de sorcière déteignait sur les marmots. Malgré les bousculades des enfants il alla s'asseoir sur un lit et commença à lire sa lettre écrite par ses parents:


A notre cher enfant...

Si nous t'écrivons cette lettre, c'est parce que notre mort est proche. Nous n'avons pas pu t'écrire cette dernière année, car chaque arrêt pour écrire devenait de plus en plus dangereux. Nous sommes morts pour la paix, et c'est sûrement une des plus belles morts que l'on puisse avoir. S'il te plait, ne nous en veut pas, ne devient pas violent... Tu comprendras sûrement très vite à quel point on peut souffrir moralement et physiquement pour un coup donné, alors ne le fait jamais. Nous espérons que tu seras placé dans un orphelinat, c'est ce qu'il y a de mieux pour toi...

Tes parents, qui t'aiment de tout leur coeur.

En lisant cet écrit, Adaniel ne put s'empêcher de porter la main à sa cicatrice ensanglantée. Jamais, il ne lèverait la main sur qui que ce soit, la salle de torture il s'en souvenait trop bien pour ça... Mais à quoi bon être doux, si on meurt pour la paix? C'est stupide, ses parents si gentils sont morts, et la monstruosité de l'orphelinat est encore vivante?! Mais pourquoi? ... Plus le temps de réfléchir, les enfants se mirent à le bousculer pour lui voler sa lettre... S'étant promis de ne lever la main sur personne, il encaissa les coups et serra les dents, mais la vieille dame arriva... Tout les enfants se mirent sur leur lit, et Adaniel resta au sol, le visage couvert de bleus. Il se fit prendre par le col et jeter sur son lit sous les regards amusés des enfants...

[Suite de l'histoire dans le prochain post, sinon ca dépasse la longeur autorisée -_-"]

[Suite et fin^^"]

Les trois années qui suivirent, Adaniel devint de plus en plus mature, et de plus en plus résistant. Il avait compris, que la vieille femme aimait voir les gens souffrir, que ça l'encourageait alors il ne laissait plus voir qu'il souffrait. Maintenant, il était habitué aux voyages à la salle de torture, et il y serrait les dents, bien que son dos était couvert de cicatrices... Mais un jour, ce fut terminé! Il s'échappa de l'orphelinat par une fenêtre et fuit dans la rue... Comment y arriva t-il? C'est encore flou dans son esprit, mais il y est arrivé! Liberté, liberté chérie! Oui, il n'avait que douze années et il courait dans la rue seul et avec nulle part où aller, mais il n'irait plus en salle de torture, il ne subirait plus les autres enfants...

Mais il commençait à faire nuit, et il se mit dans un coin de ruelle pour pouvoir dormir... Pendant qu'il dormait, un homme d'une vingtaine d'année passait par là, et il s'assit aux cotés de l'enfant comme pour veiller sur son sommeil. Cet homme avait une silhouette fine, de longs cheveux ébènes et des yeux bleus comparables à l'océan. L'enfant fut bien surpris lorsqu'il vit cet homme assis à ses cotés lorsqu'il se réveilla! Qui ne l'aurait pas été d'ailleurs? Adaniel eut un mouvement de recul mais l'homme le retint par le poignet et le ramena vers lui. Puis il lui demanda

"Que fais tu ici? Ne t'inquiète pas, je ne te veux que du bien..."

L'enfant ne dit rien. Il pensait que s'il disait quoi que ce soit, l'homme le ramènerait à l'orphelinat et il n'en était pas question! Mais l'homme répondit au silence

"Bon, je vais devoir t'emmener à l'orphelinat..."

Et là, l'enfant se mit à sangloter... Première fois depuis trois ans. Il expliqua toute l'histoire, de la mort de ses parents à sa fuite en passant par la salle de torture et les enfants d'une cruauté inégalable, enfin si. Égalée par celle de la vieille dame. En entendant ça, le regard de l'homme se porta vers la cicatrice sur la joue de l'enfant, qu'il caressa du bout des doigts et lui demanda s'il avait mal. L'enfant répondit que non, car la cicatrice avait maintenant trois ans et n'était donc plus douloureuse. L'homme regarda Adaniel avec pitié et le prit dans ses bras. L'enfant pris peur et commença à se débattre mais l'homme se mit à le bercer ce qui rappela un peu ce que faisait son père à Adaniel qui posa la tête sur le torse de celui qui avait veiller sur son sommeil et se détendit à un tel point qu'il se rendormit.

A son réveil, il se retrouva dans un lit sobre, mais confortable dans une chambre qui l'était tout autant. Il y avait une croix accrochée au lit, et son bienfaiteur veillait à coté de lui sur une chaise. Quand l'enfant fut réveillé, il demanda des explications, et l'homme lui apprit qu'il était maître de couvent, qu'il s'appelait Gabriel et qu'il avait emmené l'enfant dans une des chambres du couvent car il s'était endormi dans ses bras, dans la rue.

Les années passèrent depuis ce moment, et l'enfant mûrissait à une vitesse impressionnante, et chaque jour il devenait plus intelligent et gentil. Il n'avait que quatorze années lorsqu'il était remarqué de tous dans le couvent et plutôt apprécié. Il était aussi remarqué pour son apparence, et on l'appelait 'le mignon du couvent'. Il était souvent mandé pour avoir de longues discutions, particulièrement avec Gabriel. Ces deux là s'entendaient de mieux en mieux, Gabriel devenant un peu le père d'Adaniel aux yeux du jeune homme. Mais chaque chose a une fin n'est-ce pas? Un jour, Adaniel avait dix-neuf ans, et il vit Gabriel dans son lit, couvert de sang. Il lui expliqua qu'un pensionnaire du couvent l'avait fouetté pour une raison sombre, et qu'il était donc dans cet état pour cette raison. Et il trouva la mort dans les bras d'Adaniel. Ce fut le début ou la fin de tout pour Adaniel, qui était d'une tristesse infinie à cause de la mort de Gabriel -et vira le penssionaire incriminé du couvent, ca va de soit-. Pour oublier, il fut placer maître de couvent, à la suite de Gabriel

Alors, voici ce que j'ai vu qu'il faudrait modifier:

"Au dessus de ces yeux ravissants, se trouvent des sourcils très noirs, aussis surprenant que ses cils de par leur couleur d'ébène. "
"Orphelinat sombre et lugubre, dans lequel il fut accueillit par une vieille dame"
"Si elle s'occupait d'un orphelinat, c'était pour mieux les faire souffrir bien qu'ils aient déjà eut leur lot de souffrances"
"Toi, je te sent pas comme mioche!" (=> sens)

J'ai corrigé le reste des fautes moi même, désolé j'aime pas les fautes de français.

A part cela, chose importante: Fiche validée!
(mais n'oublies pas de corriger tes fautes, hein?)

Mission accomplite!