Nom : Inconnu
Prénom : Maximilien
Surnom : Spider
Âge : 23 ans
Nationalité : Français
Race : Humain
Armes : Katana et étoiles
Métier : Barman
Ordre : Nizârites
Poste : Assassin
Physique :
La nature l’a doté d’un corps quelconque. Il ne montre pas son physique si ce n’est en certaines occasion. Sa musculature fait de lui un homme puissant. Il est craint car ses poings sont de véritables armes. Il maîtrise les arts de combat au corps à corps. Son corps est taillé dans un roc. Du haut de son mètre quatre vingt cinq, il entretien sa silhouette. Certains diront de lui que c’est un homme fragile d’autres que c’est une machine à tuer. Son teint pâle le fait ressembler à un mort vivant. Il a les yeux gris, il arbore toujours un sourire quelque peu inquiétant. Sa chevelure blanche en fait un peu un paria.
Caractère :
Maximilien est d’un naturel calme et posé. Son caractère est comme un caméléon. Il change en fonction de la personne devant qui il se trouve. Le trait principal est calculateur. Il réfléchit mûrement toutes ces actions. Il n’est pas du genre fonceur. C’est chez lui une chose impossible. Il juge ses semblables. Pour lui, il n’y a rien de normal. Tout repose sur des bases. Ce qui fait de lui un fin stratège et un bon guerrier.
Aptitudes / particularités :
L’une de ses aptitudes est le silence. Il est capable de se mouvoir sans bruit. L’autre est sa rapidité, la course ne l’effraie pas il aime traquer sa cible, sentir la peur, voir le visage prendre ce masque si particulier devant la mort.
Passé :
Tout commence par une nuit sans lune, je suis dehors, il pleut. Je sens l’eau couler sur mon visage, quelle occasion pour laver ce corps. Je viens de commettre un autre forfait, je ne suis plus à un près. Mon existence est jalonnée de cadavres. Mon premier ? Laissez moi réfléchir…C’est un homme, un tortionnaire qui tenait une taverne. Je l’ai laissé mourir sans bouger le petit doigt. C’est ignoble me direz vous mais moi je vois ça comme une sorte de révélation. Cet homme était mon père, je ne l’ai jamais porté dans mon cœur. Pour lui je suis la source de pas mal de ses ennuis.
« Tu n’aurais pas dût naître. Ta mère est morte par ta faute. »
Voilà le genre de réflexion auxquelles j’avais droit quand il était ivre. Je l’ai rarement vu dans un état autre. Suite à ça, je me suis enfui et j’ai pris la route. Vivant de vols et de quelques menus services. Je cachais au monde ce meurtre. Je fus recueilli par un vieil homme qui m’adopta tel son fils qu’il n’avait jamais eu. Grâce à lui, j’appris le maniement des armes. Il m’a enseigné des méthodes de combat oubliées depuis longtemps. Il savait mon passé, je lui avais tout raconté.
« Tu recèles un potentiel extraordinaire. Je peux t’aider. »
Ces paroles sont toujours dans ma tête même si aujourd’hui mon ami est mort. Je suis parti en chasse un jour et à mon retour je l’ai trouvé sur le pas de notre maison, une flèche plantée dans le cœur. La rage m’a envahie, j’ai reconnu la provenance de cette dernière. Je me suis rendu en ville portant son corps sur mes épaules. Les gens s’écartaient sur mon passage.
« Mon dieu. Il est mort, prévenez les autorités.
Inutile, ai-je dit, je sais qui est le responsable. »
Je me suis arrêté devant la taverne, j’ai vu l’archer à l’intérieur qui vantait ses exploits.
« Sors de là charognard ! Tu ne mérite pas de vivre. »
Il me regarda droit dans les yeux.
« Morveux, je vais te faire taire à tout jamais. »
Il posa son arc et pris sa dague. Il passa la porte et se dirigea dans ma direction. Un combat s’en suivi, les gens avaient fuit la place de peur d’être touchés. L’homme qui se tenait devant moi n’était autre que le chef de la milice de la ville. Ses hommes avaient ordre de ne pas intervenir. Sa mort fût un soulagement. Je suis parti sans regarder derrière moi. J’ai enterré mon ami dans son jardin et j’ai brûlé sa maison. Suite à ça on entendit plus parler de moi.
Jusqu’à ce jour où un jeune homme accompagné de trois autres personnes m’a abordé. Il ne m’a pas dit tout de suite qui il était mais tout me laissait croire qu’il me connaissait. Il me défia dans un combat en forêt. Sa façon de manier l’épée était celle d’un soldat, à un moment l’un de ses comparses l’appela par son titre. Je reconnus celui qui me faisait face, c’était le fils du chef de la milice.
« Tu sais qui je suis maintenant, tu va payer pour ce que tu as fait. Meurs ! »
Il se rua sur moi et ses hommes firent en sorte de me couper toute retraite possible. Il s’en est fallu de peu, je dois la vie à une jeune femme qui me vînt en aide. Sa façon de se battre me surpris. Je n’avais jamais vu ça. Elle s’occupa à elle seule des trois acolytes, me laissant le jeune homme. Une parade spéciale me permit de le désarmer.
« Tu va faire quoi maintenant ? Me tuer ? De toute façon, assassin tu es né, assassin tu resteras. »
Mon katana se trouvant sur sa gorge, je pouvais le tuer. Je fis un mouvement de façon à placer ma lame sur sa poitrine.
« Si je voulais, tu serais déjà mort. Ton père avait fait du mal à une personne que j’aimais. Ta seule motivation est la haine que tu éprouves. Je ne vais pas te tuer, cela me procurerai aucune satisfaction. »
D’un geste simple, je lui ai entaillé la joue gauche.
« Cette marque te rappellera notre rencontre. »
La demoiselle me regarda et me fît un signe de tête comme si elle approuvait mon geste.
« Maintenant gamin va t’en et ne tente rien qui pourrait causer ta perte. »
Il ramassa son épée et s’en alla sans jeter un regard derrière lui. Une discussion s’en suivit, j’appris le prénom la personne, Loukas. Elle me proposa d’intégrer une guilde. Ma couverture serait toute trouvée, barman.