Le calme avant la tempête

Siegfried attendait que son amante lui réponde mais au lieu de cela elle gémit. Son plaisir ne lui permis visiblement pas qu’une parole traverse la barrière de ses lèvres. Le chevalier pouvait sentir de son amante se réchauffer à mesure que le désir monte en elle, l’intérieur du corps de Laureena est encore plus brûlant, une vraie fournaise. Siegfried put entendre la jeune femme crier son plaisir. Savoir que sa langue à un effet aussi fort sur son amante fait sourire le chevalier. L’absence de mouvement de Laureena fait penser à son amant que la cavalière accepte ses deux fessées comme une « punition. » Mais elle ignore que ce n’est que le début de cette « punition. » Son absence de réponse fit confirmer cette pensée. Siegfried sourit largement devant l’état de l’intimité de la jeune femme, la dilation et l’humidité de son entrejambe laissent percevoir son état d’excitation.

"-Si tu pouvais voir dans quel état tu es ici, Laureena."

Il lui frappa encore une fois les fesses. Ce qui les fit rosir. Sa langue continue son exploration, mais cette fois-ci trouve ce qu’elle cherche. Elle effleure d’abord le point G, puis le caresse plus franchement. La main de Siegfried caresse toujours les mamelons si sensibles de son amante. Son nez s’amuse à chatouiller son bouton rose tout aussi sensible que sa poitrine et son point G. Le chevalier prend un malin plaisir à exciter ses trois points de désir. Il n’est pas du tout pressé de pénétrer la jeune femme. Sa force lui permet de faire en sorte qu’elle ne puisse que subir le désir. Siegfried impose une torture qu’il sait très forte sur son amante, mais il sait aussi que lui réserve encore quelques délicieux supplices.

"Je n'en ai qu'une vague idée"

Cette fois, elle sursauta quand il la frappa. Elle ne s'y attendait pas mais cela la fit rire. Quelque chose vint lui chatouiller un point en elle qui la fit frissonner et gémir. Elle comprit que Siegfried avait trouvé ce qu'il cherchait depuis le début de ses caresses.

Elle gémit plus fort et ferma les yeux alors que son amant continuait à s'occuper de sa poitrine. Le traitement qu'il lui fait subir la fait presque crier à chaque fois, la jeune femme était complètement à la merci du chevalier. Ses mains se fermaient sur le tissu sous elle alors qu'il lui tenait toujours les poignets. Et pourtant, ce n'était que le début, elle le sentait à sa façon de la tenir car il n'était pas du tout crispé.

"C'est délicieux! Mais c'est exaspérant!"

"-Hum ! Je peux te dire que tu offres un spectacle charmant."

Le sursaut que la jeune femme eut quand Siegfried la fessa de nouveau trahit la surprise que cela avait occasionnée à Laureena. Pourtant qu’elle rit surprit le chevalier, il ne savait pas si c’était par qu’elle trouvait cela amusant ou parce qu’elle y prenait goût. Peut-être un peu de des deux d’après lui. Par contre, il est un peu déçu. Malgré le frisson et le gémissement poussé par son amante, sa découverte du point G de la jeune femme ne semble pas faire l’effet qui l’escomptait.

En revanche, sa poitrine est très sensible. Les caresses que le chevalier effectuent sur elle lui arrachent des gémissements plus intenses qu’au début. Le but du chevalier est surtout de savoir combien de temps son amante va tenir avant de pousser. Il peut voir ses mains crisper sur la cape, signe d’un effort visible pour ne pas hurler. Elle ne savait pas vraiment ce qu’il l’attendait et cela arrange le capitaine.

"-Et le pire n’est pas encore arrivé. Mais cela ne saurait tardé. "

Le chevalier passe sa virilité entre les jambes de son amante, mais sans la pénétrer. Il se contente d’effleurer son intimité. Evidemment, cela lui occasionnait aussi un certain supplice, mais moindre comparé à celui que Laureena pouvait ressentir. Lâchant sa poitrine, sa main libre se met à caresser doucement les fesses de la jeune femme. Un doigt glisse entre elle et caresse ce qu’elles dissimulent.

"-Tu es encore vierge ici."

Le doigt se retire, mais sa virilité continue d’effleurer l’intimité. Le chevalier a mis une de ses jambes de telle manière que la jeune femme ne puisse donner un coup de bassin pour éventuellement être pénétrer.

Laureena fut surprise à sa phrase.

"Le pire? Qu'est-ce qui peut être pire?"

Elle voulut ajouter quelque chose mais un cri de plaisir lui échappa alors qu'il commençait à la caresser de son membre tendu. Elle voulut se cambrer pour demander la pénétration mais il la bloquait avec sa jambe. Elle se mordit la lèvre inférieure et poussa un nouveau cri, se terminant dans un gémissement profond.

Elle soupira en le sentant lâcher sa poitrine mais frissonna en le sentant lui caresser les fesses. Il était tellement doux qu'il lui donnait la chair de poule et elle gémissait à chaque fois. Son doigt glissa entre ses rondeurs pour en explorer la surface.

"Oui... Oui, je suis vierge. Mais... Pas pour longtemps... C...Continue."

La jeune femme cria de nouveau son plaisir, sentant la virilité chaude de son amant contre son intimité luisante de désir. Elle voulut donner un coup de bassin mais la position du chevalier l'en empêchait.

Siegfried sourit en voyant le plaisir empêcher Laureena de parler et l’obliger à crier. De plus de par sa position, sa force et l’état un peu faible de la jeune femme, cette dernière ne peut pas, malgré ses mouvements, l’obliger à la pénétrer. Le capitaine avait calculé tout cela. Il voulait faire comprendre à la cavalière, qu’une punition, même douce est difficilement supportable. Un nouveau crie suivit se finissant dans un long gémissement ne fit que confirmer au chevalier que la jeune femme ne résistait plus à son plaisir.

*Sa sensibilité est à fleur de peau, un simple passage de mes mains sur ses fesses la fait frissonner.*

Les gémissements poussés par la jeune femme à chacune des caresses ne font que confirmer la déduction du capitaine. Il sourit en l’entendant parler.

"-Hum ! En effet, mais je vais continuer à prendre mon temps pour cela."

Siegfried replonge son doigt entre ses fesses, puis son doigt caresse doucement cette partie si intime de son amante. Le doigt ne fait que l’effleurer, ce manège dure un moment avant qu’il ne décide à doucement de pénétrer le petit trou. C’est à ce moment que le chevalier décide d’immiscer sa virilité dans l’intimité de son amante. Il le fait lentement, effleurant lentement son intimité avec l’extrémité de sa virilité avant de la pénétrer plus franchement. Sa virilité rentre entièrement en elle, en effleurant son bouton rose et touchant son point G. Siegfried relève Laureena, lui suçote le lobe de son oreille et l’embrasse dans le cou. Tandis que son doigt fait des mouvements de va et vient entre ses fesses.

"-Ca va mieux là."

Il commence de lents mouvements de bassin, faisant en sorte de la pénétrer au maximum.

"Tu es cruel mon amour!"

Elle sentit une nouvelle caresse entre ses fesses puis son doigt commencer à la pénétrer. Elle se crispa un peu puis le laissa faire, cette sensation était très étrange pour elle. Mais en même temps, il s'empara d'elle, très doucement, avec une lenteur langoureuse. Elle le sentit se retirer puis revenir plus rapidement. Le bout de son membre heurta son point G, ce qui lui arracha un cri de plaisir.

Elle se sentit relevée et embrassée. Elle ferma les yeux, appréciant les mouvements que son amant commençait en elle. Elle se mit à quatre pattes, sentant son torse puissamment musclé contre son dos. Le bassin de la jeune femme se mit à accompagner le va et vient du chevalier.

"Oui...C'est mieux."

Ses paroles se terminèrent en un gémissement de plaisir.

"-Hum. Hum."

La crispation de la jeune femme ne surprend le chevalier, lorsque celui-ci fait pénétrer son doigt entre ses fesses. Mais il qui ne fait aucune remarque à ce sujet. Le crie qu’elle pousse lorsqu’il touche son point G le fait sourire. Il recommence, mais en accélérant ses mouvements. En se mettant à quatre pattes, Laureena offre à son amant un angle de pénétration idéale. Tandis que les mouvements de bassin de Laureena permettent à son amant de lui donner encore plus de plaisir. Sa main de libre passe un de ses doigts le long de son échine. La main descend sur sa poitrine. Les mamelons dressés de cette dernière offrent une cible toute choisie pour ses doigts. Ces derniers passent dessus brièvement avant des les masser l’un après l’autre. Pendant que son bassin accélère la cadence, le chevalier introduit un deuxième doigt dans le petit trou de la jeune femme tout en continuant des mouvements de va et vient avec ces derniers.

"-Je constate cela."

Après qu’elle eut gémit, Siegfried pose ses lèvres sur la basse de la nuque de Laureena et ne les enlèves pas.

Laureena sentit son amant s'acharner sur son point G, lui arrachant des gémissements plus fréquents et plus intenses. Elle continua ses mouvement de bassin en écho tant cela augmentait son plaisir. Elle ferma les yeux, déglutit avec peine et un cri lui échappa.

Un gémissement suivit imédiatement ce cri lorsqu'elle le sentit caresser et masser sa poitrine. La fatigue éveillait sa sensibilité et surtout celle de ces petits ronds de chair rose. Mais aussi, son amant savait s'en occuper avec une habileté diaboliquement agréable.

Par contre, le second doigt entre ses fesses la fit se crisper. Mais elle voulait lui donner la seule virginité qui n'ait pas été prise de force cinq ans auparavant. Elle se détendit peu à peu et se mit à apprécier ce mouvement. Il était doux, et faisait ce qu'il pouvait pour la préparer.

Elle put sentir ses lèvres sur sa nuque et comprit avec un sourire qu'elle aurrait d'ici peu une autre marque rouge. Cette marque d'amour qu'elle se promit de lui rendre dés qu'elle pourrait.

Les gémissements et les cris se faisaient entendre plus souvent aux oreilles du chevalier. Visiblement que l’on s’occupe de sa poitrine rend le plaisir Laureena très intense. Du moins c’est ce que constate Siegfried. Il ne le dit pas mais il adore s’occuper de la poitrine de son amante. L’embrasser, la caresser, l’effleurer, la masser, la lécher, la sucer, tout cela est très agréable pour le capitaine. Il la sentit se crisper quand il introduisit un deuxième doigt entre ses fesses.

-Du calme, mon cœur, ça va aller. J’y mettrais autre chose. Mais uniquement si tu le veux. Détends-toi en attendant.

Un troisième doigt vint rejoindre les deux premiers. Ils pénétraient très profondément en elle comme pour préparer cet endroit à autre chose. Ses trois doigts caressent aussi la fine paroi à l’intérieur.

La bouche posée sur la nuque de la jeune femme aspire un peu de sa peau et lui pose un suçon assez marquant. Siegfried accélère franchement ses mouvements de bassin. Il peut sentir ce dernier toucher celui de son amante.

-Alors Laureena sentirais-tu quelque chose monté de ton ventre.

Il lui lèche doucement le lobe de l’oreille.

"Oui... Oui je le veux."

Elle ne pouvait pas lui mentir sur ses désirs. Le troisième doigt ne la fit pas se crisper cette fois, elle se sentait prête. Ses mouvements la faisaient gémir de plaisir et ses caresses sur la paroi de son corps lui donnèrent un frisson des plus agréables.

Le sentir accélérer la fit gémir et bientôt, des cris lui échappèrent. Elle entendit sa question et sourit.

"Oui, je sens quelque chose."

D'ailleurs, d'en parler lui donnait l'impression qu'elle n'allait pas tenir encore bien longtemps. La langue du chevalier sur son oreille la fit sourire et elle ferma les yeux, appréciant cette caresse insolite mais si douce.

"-Bien, je le ferais après."

Il ne la sentit pas se crisper quand son troisième doigt la pénétra. Si elle n’appréciait pas, elle arrivait néanmoins à ne plus en avoir peur. Des frissons accompagnent maintenant les gémissements de l’amante de Siegfried, ce que ce dernier apprécie. Ses cries reflètent un désir croissant et audible.

"-Bien. Mais tu vas devoir t’occuper de la ta poitrine toi-même, un peu."

Il lui relâche les poignets et laisse sa main descendre entre ses cuisses et caresse doucement son bouton rose. Ce dernier est dressé au maximum et fait penser au chevalier que son amante ne va pas retenir bien longtemps son désir.

"-Laureena, ma chère. Votre bouton rose est bien joliment dressé."

Il masse doucement le clitoris de la jeune femme. En sachant pertinemment que ce sera la goutte d’eau qui va faire déborder le vase. De son côté, Siegfried retient son plaisir moyennement bien, mais il sait qu’il tiendra plus longtemps que la cavalière.

Laureena se trouva un point d'appui plus franc lorsqu'il lui lâcha les poignets. Cela fit encore grimper son plaisir d'un cran. Elle gémit lorsqu'il la caressa entre les jambes.

"Vous pensiez me laisser indifférente?"

Elle voulut dire autre chose qui se bloqua dans sa gorge alors qu'elle retenait sa respiration. Le massage qu'il effectuait sur son bouton d'amour faisait monter son plaisir à une vitesse qui la surprenait. Incapable de se tenir plus longtemps, elle laissa sa jouissance exploser. Ses yeux se fermèrent et elle lança un cri trahissant ce qu'elle ressentait.

"Et maintenant? Que me prépares-tu?"

Essoufflée, elle restait à quatre pattes pour le moment. Sachant bien qu'il ne pourrait résister à la tentation de lui faire subir un nouveau supplice. Elle se redressa et lui caressa doucement le torse. Du moins ce qu'elle pouvait en atteindre.

Le chevalier ne dit rien à Laureena quand elle gémit et il ne répondit pas non plus à sa question. Il remarque qu’elle retient sa respiration un instant, ce qu’il l’empêche évidemment de parler un moment. Le massage si intime que Siegfried effectue a les effets qu’il escomptait. Le corps de Laureena déjà bien sensible et soumit à une douce agression ne peut pas résister à cet ultime supplice. Quand il sent qu’elle ne peut plus rien retenir, il laisse échapper sa jouissance et son désir s’écoule lentement dans le ventre de la jeune femme. Il l’entendit crier mais son propre cri recouvrit celui de la jeune femme.

"-Tu vas voir."

Son désir avait été tel qu’il s’écoule en dehors de l’intimité de la jeune femme.

"-Mais il va falloir que je reprenne un peu de force. Mais en attendant."

Il redresse la jeune femme et plaque son dos contre son torse. Ses mains se promènent sur sa poitrine.

"-Je vais m’occuper de toi."

Le chevalier embrasse doucement son amante sur les lèvres. Tandis que ses mains se promènent sur la poitrine de Laureena. Elles n’épargnent aucune parcelle de l’épiderme de sa poitrine. Il la caresse plus doucement encore que durant leurs ébats. Il fait tout cela en sachant que sa virilité est toujours en elle.

Leur plaisir avait été commun, la voix du chevalier ayant couvert la sienne. Laureena sourit, son amant aimait la faire languir pour lui donner plus de plaisir à chaque fois. Elle sentit quelque chose couler d'elle et comprit que ce n'était rien d'autre que la semence de l'homme de sa vie.

"Alors repose-toi si tu en as besoin."

Mais il lui signala son intention de s'occuper d'elle. Elle sourit et se laissa emporter contre lui. La jeune grecque répondit au doux baiser de son amant alors qu'il lui caressait la poitrine. Elle ferma les yeux, se laissant caresser doucement. La tête posée contre l'épaule de Siegfried, la jeune femme se régalait de ce moment de tendresse. La journée lui avait parue longue sans lui mais surtout sans ses baisers ni ses caresses.

Elle relâcha ses jambes, s'asseyant sur les cuisses de son amour. Ce faisant, elle le fit venir un peu plus loin en elle mais c'était involontaire. En effet, elle ne cherchait même pas à l'exciter de nouveau, juste à être tranquillement avec lui. Leurs chevelures se mêlaient, noir et argent le long du dos de la jeune femme.

"-Hum !"

Le chevalier ne bougea pas quand elle répondit à son baiser. Il ne lui caresse pas la poitrine uniquement dans le but de l’exciter mais aussi de la détendre. Siegfried sait qu’elle se sent bien quand il y a un contact physique entre eux. Le corps du chevalier lui offre le désir, mais aussi une certaine sécurité et un immense réconfort. La tête de la jeune femme posée sur son épaule en est une preuve flagrante.

Il la sentit s’asseoir sur lui. Cela eut pour effet qu’il la pénétra plus profondément évacuant une partie de la semence qu’elle a dans son ventre. Mais, cela fait aussi gémir le chevalier, qui commençait à sentir sa virilité se dresser une nouvelle fois. Mais il continuait à masser tout doucement sa poitrine, mais aussi à caresser son ventre, masser sa nuque et l’embrasser doucement. Ce faisant, il détend les muscles du corps de la jeune femme.

"-Mon amour, j’espère que tu es prête pour une deuxième pénétration."

Les mains du chevalier se glissent sous les fesses de la jeune femme.

Les yeux fermés, Laureena se laissait bercer tranquillement par les mains de son amant. Il les faisait passer sur son corps tendrement, la massant et la caressant pour la détendre. Elle ne se sentait jamais mieux qu'avec lui. Sans doute était-ce dû au fait qu'il était particulièrement grand mais aussi très calme. Il lui donnait un sentiment de sécurité rassurant. Sous ses airs de guerrière sûre d'elle, Laureena cachait une très grande fragilité et une sensibilité non moins importante.

"Oui je suis prête mon ange."

Elle le laissa glisser ses mains sous elle avant de se redresser. La jeune femme se remit à quatre pattes, faisant ainsi retirer le chevalier d'elle.

"-Bien."

Quand Laureena se releva, son amant put regarder ses fesses. Il passe doucement sa main dessus. Puis le chevalier écarte les deux globes fessiers pour bien voir son petit trou. Il passe sa langue du bas du dos de la jeune femme jusqu’à sa nuque, remontant le long de l’échine avec une insolente lenteur. La virilité du capitaine se présente entre les fesses de la cavalière et se pose sur le petit trou.

"-Dis-moi si cela te fait mal."

Il fait lentement pénétrer son membre viril. Une fois celui-ci entré de toute sa longueur, Siegfried pose une main sur la poitrine de la jeune femme et une autre sur son bouton rose. Il commence de lents mouvements de va et vient. Tandis que ses mains s’occupent de caresser les centres de plaisir de son amante.

"-Ca va Laureena ?"

Sa virilité caresse doucement les parois internes de la jeune femme.

La jeune grecque ferma les yeux, juste pour apprécier ses caresses. Elle n'avait pas peur de ce qui l'attendait, elle avait confiance en Siegfried, une confiance presque aveugle. Un frisson lui parcourut le dos alors qu'il y passait sa langue, y laissant un sillage humide et frais malgré la chaleur du désert.

Elle le sentit se préparer et commencer à se glisser doucement en elle. Une vague douleur se fit sentir entre les reins de la jeune femme qui se crispa une seconde. Mais elle passa et Laureena put sentir le membre chaud et dur de son amant glisser au creux de son corps. Il s'arrêta le temps de prendre possession de sa poitrine et de son entrejambe.

"Tout va bien. C'est même assez agréable."

Elle le sentit reculer un peu et revenir lentement, prenant son temps pour ne pas la brusquer. Elle se laissa aller à son plaisir et finit par pousser de petits gémissements. Cette position lui donnait une sensation étrange mais plutôt douce. La jeune femme se mit à onduler les hanches au rythme des coups de reins langoureux de son amant.

Sentir frissonner Laureena une nouvelle fois sous l’assaut de sa langue sur le creux de don dos fit sourire le chevalier. Au moment de la pénétration, il put sentir son amante se crisper un instant. Il savait que cet endroit n’est pas fait pour cet usage et que la pénétration peut douloureuse voire très douloureuse et que la partenaire ne doit pas bouger. Une fois en elle, le chevalier faisait de lents mouvements, il ne veut pas la blesser alors il est le plus délicat possible. Il sourit aux paroles de son amante.

"-Je suis heureux que tu apprécies."

Les gémissements que Laureena pousse sont appréciés par son amant qui n’était pas sûr qu’elle apprécie de faire une telle chose. Les ondulations des hanches de son amante encouragèrent le capitaine à accéléré ses mouvements. Il lui claque une de ses fesses avant de revenir s’occuper de son clitoris.

"-Laureena, tu pourrais avoir un peu de retenue. Tu es en train de mouiller tes cuisses."

Cette petite remarque taquine était voulue. Ses mouvements de bassin se font plus rapides et plus pénétrants encore. Cette pénétration se fait dans un endroit plus étroit ou les sensations même différentes peuvent parfois se montrer plus intenses.

Laureena se laissait faire, complètement détendue par le traitement infligé par son amant. Elle le sentit accélérer, ce qui lui causa une nouvelle douleur mais qui passa rapidement. Il arrêta une seconde ses caresses entre les jambes de la jeune femme pour lui claquer les fesses. Elle gémit quand il revint à son bouton de chair.

"Crois-moi, ce ne serait pas le cas si je n'appréciait pas."

Elle sourit et gémit quand il accéléra de nouveau. Elle n'eut pas mal, s'étant habituée à sa présence dans cet endroit si peu fait pour une pénétration. Elle ondula de nouveau les hanches pour l'aider à se glisser entre ses fesses. La jeune femme sentait ses yeux se fermer, signe d'un plaisir montant dangereusement.

"Siegfried, je... Je ne vais pas tenir bien longtemps."

De plus, elle était fatiguée, son combat contre le poison avait tiré sur ses forces. Même malgré le sérum qu'il lui avait injecté dans les veines. Son corps avait été fragilisé par le venin. A peine avait-elle terminé sa phrase que le plaisir la submergea dans un long gémissement profond qui se termina en une sorte de cri étouffé.

Siegfried apprécie que son amante soit aussi détendue, cela réduit les risque de trop grande douleur. Il put constater qu’elle avait ressenti une brève douleur quand il eut accéléré ses mouvements de bassin. Le chevalier ne voulait pas faire du mal à son amante, mais il est conscient du fait qu’une telle pratique peut difficilement ne pas comporter de douleur. En entendant Laureena gémir, Siegfried sourit en pensant qu’elle a beaucoup de mal à se contrôler dès qu’il lui touche son bouton rose. Son état de faiblesse à augmenter énormément sa sensibilité naturelle.

"-J’en suis convaincu, ma douce."

Entendre Laureena gémir lui est toujours aussi agréable, cela prouve qu’elle apprécie ce qu’il lui fait. La douleur n’était plus présente, elle avait finit par habituer à cette pénétration peu commune. En ondulant ses hanches, Laureena facilita la pénétration de son amant.

"-Moi non plus. Je…"

Le chevalier n’eut pas la possibilité de terminer sa phrase. Au moment où son amante jouit, il fit de même en criant le nom de son amante. Il sentit son plaisir se répandre en elle. Tandis que l’intimité de la jeune femme laisser suinter un étrange liquide. Siegfried mit sa main entre les cuisses de Laureena, mais le liquide passe entre ses mains.

"-Tu as été merveilleuse Laureena. Merci, mon cœur."

Il dépose un baiser sur son front.

"-Il faut te reposer maintenant, je reste avec toi."

La jeune femme l'entendit lui répondre, ses paroles se bloquer et alors qu'elle jouissait, il fit de même, répandant sa semence en elle. Elle-même laissa couler son fluide, celui qui permettait les pénétrations plus faciles. Il se retira d'elle et l'embrassa sur le front.

"Tu étais parfait, c'est moi qui doit te remercier."

Avant qu'il ne le lui dise, elle s'étendit sur sa cape, à plat dos. Son regard se tourna vers l'entrée de la grotte. Dehors, le vent hurlait, soulevant des montagnes de sable. La jeune femme n'y apporta pas d'importance, ils étaient à l'abri dans cette caverne. Sentant ses yeux se fermer, Laureena vint se réfugier contre Siegfried, allongé près d'elle. Elle enfouit sa tête au creux de son torse, protégée par ce colosse si tendre. Elle déposa un doux baiser sur son coeur.

"Je t'aime."

Elle soupira de bien-être et s'endormit contre lui, un bras passé autour de la taille du chevalier. Sa main vint chercher un pan de sa cape qu'elle referma sur eux comme une couverture.

Le chevalier a la main entièrement trempée par les fluides de la jeune femme. Malgré la taille de sa main, il n’a put empêcher les fluides de la jeune femme de s’écouler en dehors de son intimité.

"-Pourquoi me dire merci ?"

Laureena était déjà allongée, le dos posé sur sa cape. Siegfried avait usé ses dernières forces en lui faisant l’amour. Mais il ne s’en voulait pas. Il espérait juste qu’en faisant cela elle avait oublié sa peur de mourir toute seule. Le chevalier pouvait entendre le vent chargé de sable grondé dehors, comme un prédateur furieux qu’une proie à l’abri dans son terrier lui soit refusée. Puis il sentit son amante se blottir contre lui, posant sa tête contre son torse musclé comme la jeune femme amoureuse qu’elle est cherchant le réconfort et la sécurité auprès de l’homme qu’elle aime. Sentir les lèvres de la jeune femme poser ses lèvres au niveau de son cœur fit sourire le colosse. Ce dernier passe ses bras autour de la jeune femme et la serre doucement contre lui. Il l’embrasse une nouvelle fois sur le front.

"-Moi aussi, je t’aime."

Siegfried put entendre la jeune femme soupirer, visiblement heureuse. Il pouvait sentir les fins bras le ceinturer, contrastant fortement avec les siens. Une fois la cape tirée sur eux, le chevalier la positionne suffisamment pour qu’elle ne laisse aucun espace de leur peau nue découverte. Il la regarde s’endormir tandis qu’un sourire se dessine sur les lèvres du capitaine. Il la trouve si vulnérable malgré son caractère de femme forte et déterminée.

*Un si petit bout de femme dans un monde comme celui-là.*

Siegfried n’était pas fatigué au point de dormir. Il se contente de fermer les yeux et de laisser son corps se reposer.

Laureena s'était laissée emporter dans le monde des songes, indifférente aux éléments se déchaînants dehors. La douce tièdeur du corps de Siegfried contre le sien lui indiquait sa présence et curieusement, semblait chasser tous ses cauchemars. Au lieu de revivre les moments les plus terribles de sa vie, elle ne voyait plus que des images idylliques. En particulier celles d'un avenir possible avec l'homme de sa vie.

Elle dormit longtemps, pendant plus de deux heures. Mais même après ce temps passé loin du monde, elle se sentait encore fatiguée. Le venin lui avait causé plus de soucis qu'elle ne se l'était imaginé. Le regard encore embrumé, elle reposa sa tête sur le bras de son amant pour continuer à se reposer.

Un bruit lui fit lever la tête mais il n'y avait rien de visible. Peut-être un animal dehors, prit dans la tempête. Elle s'apaisa et ferma les yeux, adossée à son compagnon. Lui aussi semblait dormir, cela lui donnait le sentiment qu'elle ne devait pas s'inquiéter, qu'ils étaient en sécurité.

Le chevalier lisait les rêves de Laureena. Cela le fit sourire, mais en même temps cela le rendait un peu triste. Mais il ne le montrait pas et ne laissait pas ses pensées filtrées hors de son esprit.

*J’aimerais tant pouvoir t’offrir cela un jour. Je veux tant y croire.*

Malgré le temps de sommeil qu’elle eut, Siegfried constate que sa cavalière n’a pas récupéré entièrement. Mais cela n’a rien d’étonnant, les personnes habituées à cet endroit sont plus solides aux morsures de ce serpent. Siegfried qui a été mordu plusieurs fois ressent les même effets que les personnes habitant dans ce désert. Il a volontairement exposé son corps aux morsures pour le rendre plus solide au venin. Ce genre d’entraînement dangereux, le capitaine y fut habitué depuis tout petit. Il sentit la jeune femme poser sa tête sur son bras. Le chevalier sourit de nouveau en posant sa main dans ses cheveux.

Quand Laureena leva la tête, Siegfried ne dit rien. Elle avait entendu un bruit sans, sans doutes, savoir sa provenance. Mais son amant lui savait d’où cela provenait, il avait saisit une vipère des sables à la gorge. Le reptile avait juste eut le temps de siffler avant que le chevalier ne l’attrape. Il attendit que la jeune femme se calme et ferme avant de jeter violemment le serpent dans la tempête de sable au dehors. Durant tout ce temps le chevalier n’avait pas ouvert les yeux. Son corps reprenait lentement des forces. Sa carrure, difficilement dissimulable, lui donne en revanche la possibilité de reprendre des forces plus rapidement en d’en avoir en réserve au cas ou. Ses jambes entourent celles de la jeune femme comme pour la protéger.