Boutique de vêtements

Loukas avait fermé sa boutique le temps de son recueillement, sa mère adoptive n'était plus de se monde aussi elle était heureuse de réouvrir la boutique pour laquelle elle avant tant passé du temps, la réputation de celle ci n'était plus à faire. Les autres petits commerçant en avait bien profité de sa petite abscence, mais à présent elle est de retour.
La jeune femme souleva le rideau de fer qui protégeait l'entrer de son commerce, elle entra et pu voir que tout était rester à sa place, elle souria contente de retrouvé son espace de travail.
Loukas avait pris soin de rentrer les vêtement et les tapisserie dans la réserve elle ne voulait pas que la poussière abîme la marchandise, elle pensait à tout pour que sa petite entreprise fonctionne, la seule chose qu'elle ne pouvait supporter était les voleur qui espérait pouvoir lui soutiré de l'argent en la menaçant.

* Quand j'y repense le dernier brigand qui a essayer de me voler, je lui est tiré une balle dans la jambe avec mon Casull, c'est depuis ce jour que ma boutique n'est plus sujete aux braquages...*

Loukas avait tout remis à sa place, les vêtement et tapisserie était à leurs place, le stock de chaussures qu'elle viens de recevoir est présenter de bien bonne façon à l'endroit qui leurs est destinée.
Le chef des Nizârites songeait à conquérir un nouveaux marché, et racheter la taverne était son but en ce moment, mais elle se dit qu'à être trop gourmande on fini par ne rien avoir.
Elle alla s'asseoir devant l'entré de la boutique sur une chaise à bascule, une pancarte bien en évidence à ces côter, elle s'assie sur sa chaise et sortit son arme, qui brillait d'une lueur métalloïde.

" J'adore cette pancarte, j'ai bien fait de l'avoir écrite."

Un couvre chef pour la protéger d'un éventuelle coup de soleil, elle prenait bien soin de sa personne, Loukas aimait peu le climat du pays dans lequel elle se trouvait sa l'éprouvait mais elle devait faire avec.

(NDT : sur la pancarte il y a écrit les voleurs se verrons gratuitement troué)

Le bruit des bottes d'Irissia sur le sol dallé et mal bâti s'étouffait dans la cohue habituelle du souk ... Les vendeurs vantaient le mérite de leur produit : vêtements, toiles, objets pittoresques, fruits, légumes ... Les étals se côtoyaient dans un mélange coloré qui mettait en éveil tous les sens. Les clients quant à eux, essayaient tant bien que mal de marchander les divers articles et se bousculaient impitoyablement. Tout cela se confondait en un bruit presque festif mais déclenchant un rapide mal de tête pour qui ne serait pas habitué.
Irissia continuait sa marche en passant une main gantée sur les soieries et tissus qui ornaient un étalage, geste complètemet inutile d'ailleurs puisque le gant en cuir ne permettait pas de sentir quoi que ce soit. Peu importait, elle cherchait juste à se distraire du mieux possible, les murs de la Forteresse n'étant pas ce qu'il y avait de mieux pour se divertir ... Ses yeux furent alors attirés vers une pancarte :

"Les voleurs se verront gratuitement troués"

Le gérant de cette boutique devait avoir bien de l'humour et ne manquait pas d'audace pour ainsi dire. Par simple curiosité, Irissia s'avança en direction de la devanture de la boutique qui semblait vendre des vêtements et autre articles d'habillage. Sa main se posa sur la poignée et l'actionna. Un léger cliquetis se fit entendre lorsque la porte s'ouvrit et Irissia pénétra dans la boutique, regardant autour d'elle en attendant qu'on la prenne en charge.

Loukas entendit le cliquetis de la porte tinté, signe que quelqu’un vient d’entrer la jeune femme se leva son arme à la main elle se rendit à l’accueil, pour recevoir le client.
Elle vis une femme dont la tenue fort provocante ne pouvait faire qu’attiré les regards, la jeune gérante s’avança vers elle et se présenta à elle.

« Bonjour enchanté de vous, que puis – je pour vous ? »

Loukas reconnue très vite cette personne, elle l’avait pourtant bien envoyer quelques subalterne récupérer des informations sur son compte, la vendeuse cacha son sentiment d’exaspération tout en souriant à sa cliente.

« Seriez vous venus à cause de la pancarte ? L’on me pose toujours des questions sur celle – ci… »

Irissia entendit la voix d'une femme qui l'interpella. Elle fixa la nouvelle arrivante et vit qu'elle tenait une arme à la main. Elle en conclut alors qu'il s'agissait vraisemblablement de la gérante de la boutique.

"Vous risquez de faire peur à la clientèle si vous les accueillez ainsi ... Si jamais bien sûr vous en avez ..." dit-elle d'une voix posée et quelque peu narquoise.

Voyant qu'elle jaugeait sa tenue, Irissia passa sa cape par-dessus ses épaules ne laissant apercevoir qu'un rideau noir recouvrant son corps jusqu'à ses pieds. Il était vrai que sa tenue n'était pas des plus décentes mais elle ne semblait pas en être gênée pour autant, elle voulait seulement ne pas mettre mal à l'aise la vendeuse qui pourrait malencontreusement utiliser son arme si Irissia faisait mauvaise impression sur elle.

Elle lui demanda alors si elle était venue pour la pancarte.

"A vrai dire je passais par là et effectivement je me demandais à quoi pouvait ressembler la personne qui prétendait pouvoir ... trouer les voleurs. Et au lieu de trouver un vieillard gâteux, je me retrouve devant une femme, jeune et pour le moins bien conservée."

Avec un sourire, Irissia se détourna de Loukas et se mit à parcourir les étalages de vêtements. Ses yeux se portèrent alors sur un long tissu encapuchonné apparemment destiné à des traversées du désert. Elle le prit et le déplia d'un coup sec, le tenant à bout de bras.

"J'aurai peut-être besoin d'un vêtement, résistant, pour des parcours dans le désert. Celui là m'a l'air d'être de bonne qualité, avez-vous meilleur ?"

"J'aurai peut-être besoin d'un vêtement, résistant, pour des parcours dans le désert. Celui là m'a l'air d'être de bonne qualité, avez-vous meilleur ?"

Loukas vint vers Irissia en prenant le vêtement dans ces mains et lui répondit.

« Bien sûr plusieurs variante de se modèle sont en vente dans ce magasin, mais auriez vous les moyens de vous l’offrir ? Car vous devez vous rendre compte que le tissu de cette cape à capuchon protège de la chaleur, ce produit à la côte en ce moment pour les voyageurs. »

La vendeuse souria et porta un regard analyste sur Irissia, elle semblait quand même assez riche, vu le physique et le maquillage qu’elle portait, Loukas eut un élan de sympathie et lui proposa ceci.

« Si vous voulez je peux vous faire un prix, ce ne sera pas trop cher mais en échange faites moi un peu de pub. »

Loukas fit un clin d’œil à Irissia.

« Qu’en dite vous ? »

Irissia fit une légère moue aux paroles de la vendeuse et particulièrement lorsque celle-ci la détailla. Son regard posé sur elle était un peu trop insistant à son goût et elle sentit une pointe d'agacement se profiler en elle. La jeune gradée se détourna alors sous prétexte d'aller observer les autres articles de la boutique. Loukas lui proposa ensuite de lui faire un prix pour le vêtement en échange d'un peu de pub. Qu'entendait-elle par là ? Elle ne pensait quand même pas qu'elle allait faire exaltation de sa boutique à d'autres personnes ?

"Peu importe, votre prix est le mien. Nous n'allons pas tergiverser là-dessus pour un simple morceau de tissu."

Sous sa cape, l'index d'Irissia passait négligemment sur la garde de son épée en attendant que cette affaire se finisse rapidement.

[=> Forteresse d'Alcantara]

Jonathan arriva près de l'entrée du Souk. Il attacha son cheval à l'endroit prévu à cet effet. Il entra dans la zone du fameux Souk d'Almase et commença à l'explorer lentement. Il adoptait une démarche lente avec ses chaussures qui faisait légèrement tinté ses éperons (démarche de cow-boy). Il arriva face à une boutique de vêtement et reconnu à l'intérieure la silouhette fine et élancée de son officier second. Il pénêtra calmement dans la boutique sans que les deux demoiselles ne le voit. On entendait seulement le tintement des éperons à chacun de ses pas.

Loukas ne savait vraiment pas comment aborder sa nouvelle cliente elle décida donc de faire comme d'habitude avec ce genre de personnage.

"Très bien je vous le laisse pour quelque pièce d'or éant donné, 50 pièces voila mon prix, ce n'est pas trop chère je trouve la qualité du tissu vaux au moins se prix la"

La vendeuse espérait que la cliente ne s'énerve pas trop, elle pourrait de toute façon la calmé si elle devenait trop irrasible.

"Est ce a votre convenance ?"

La vendeuse proposa enfin un prix. 50 pièces d'or ... Et elle disait que ce n'était pas trop cher. En soupirant, Irissia prit une bourse qu'elle tenait accroché à sa ceinture et la lança sur le comptoir. La bourse s'ouvrit alors déversant quelques pièces dont la plupart roulèrent un moment avant de tomber au sol.

"Le compte est bon normalement."

Elle n'avait désormais plus rien sur elle et se contenta de prendre le vêtement qui lui avait coûté tant. Elle s'apprêtait à repartir quand elle entendit le tintement de la porte et le clinquement caractéristique d'éperons. Tournant la tête elle vit son supérieur, l'unique d'ailleurs, le Maître-Gouverneur d'Alcantara, Jonathan Sirius.

Elle lui fit alors un léger signe de tête en signe de salut car bien qu'il soit son supérieur hiérarchique, ils étaient assez proches pour qu'ils ne se sentent obligés de se conformer à des règles strictes et à l'étiquette en vigueur au sein de l'Ordre.

"Bonjour Jonathan."

Peut-être semblait-il impoli voire irrespectueux d'appeler son supérieur par son prénom mais Irissia n'en semblait pas éprouver la moindre gêne bien qu'elle éprouve un certain respect dissimulé pour cet homme fondateur de l'Ordre d'Alcantara. De plus leur force était à peu près égale et Irissia aurait très bien pu acquérir le poste suprême si la logique n'imposait pas que cela soit le fondateur qui se devait de l'avoir.

Enroulant le long vêtement autour de son bras pour qu'il ne traine pas sur le sol, Irissia attendit que Jonathan s'exprime.

Jonathan observa tranquillement la transaction entre les deux femmes puis quand Irissia finissa par acheter sa cape, elle l'avait aperçut et le saluat. L'expression sur le visage du Maître-Gouverneur parassait légèrement souriant mais rien de plus, sans doute dû à son charisme légendaire.

"Bonjour à toi ma chère, je reviens de la forteresse, les derniers ravitaillement en provenance du village d'Emarat sont arrivé et là je regardais un peu ce qu'il y avait dans le coin."

Irissia écoutait d'une oreille les nouvelles de la Forteresse tout en regardant autour d'elle. Jonathan connaissait bien sa passivité pour les activités de l'Ordre d'Alcantara mais valait-il mieux se tenir au courant des dernières informations, même d'une oreille distraite. Irissia laissa un silence s'imposer puis ses prunelles sombres se posèrent sur Jonathan.

"Oui je vois. Aucun problème apparent donc. Les réserves doivent être à nouveau pleine et il semble qu'un calme relatif s'est installé ..."

Elle s'interrompit et avait dit ces derniers mots en jetant un coup d'oeil rapide sur la gérante de la boutique qui était toujours là à les écouter. Sa suspicion la conduisait souvent à se méfier de tout le monde et son visage ne lui demeurait pas inconnu ...

"Quoiqu'il en soit, je m'apprêtais à aller dans le désert, ce qui explique ma présence ici."

Pendant qu'Irissia lui parlait, il jeta un regard en balayant un peu la boutique.

"Bien, et qu'est-ce que tu vas faire là bas si ce n'est pas trop indiscrêt ?"

Il est vrai que la question de Jonathan était quelque peu mal placée mais il aimait bien savoir où se trouvait un peu tous ces chevaliers.

Irissia s'attendait à cette question mais ne savait pas trop comment y répondre car en effet elle ne savait pas ce qu'elle irait faire là-bas. Peut-être un besoin de solitude grandissant, de s'éloigner de toute civilisation pour s'isoler dans un lieu vierge de toute population hormis peut-être quelques mercenaires ou nomades.

"A vrai dire je n'en sais trop rien, je vais juste en ... touriste si je puis dire. Je partirai pour quelques jours sûrement avec quelques vivres et je reviendrai plus aguerrie et peut-être qui sait avec quelques cadavres ..."

Loukas écoutait la conversation tout en faiant fin de ranger quelques étagères, son travail est vraiment une belle couverture se dt elle, toute information sur Alcantara lui serait utile en ce qui concerne un futur raid sur leurs forteresse. La chef des Nizârites est bien capable d'y envoyer ces assassins pour récupérer des informations ou tuer éliminer les quelques dirigeants.

*Ils se sont ravitailler apparemment, je vais pouvoir transmettre cette information en bonne et du forme, il faudrait aussi que je sache qui est leurs fournisseurs pour une éventuelle corruption...*

Loukas revint au comptoir et démonta son arme, elle pris une trousse et en sortit des objet, objet qui serve à nettoyer son arme.
Tout en écoutant la conversation des deux individus la jeune femme se mis à dépoussièré l'intérieur du canon de son calibre 454 Casull.

"Très bien fais ce que tu veux mais ne t'absentes pas trop car je pourais avoir besoin de toi d'ici peu. Quand à moi je vais continuer à visiter un peu le souk et voir ce qu'il y a d'interessant. A bientôt j'espère."

Il adressa un signe de tête à la vendeuse ainsi qu'à Irissia et sortit de la boutique.

[=> Le souk - Ballade]

Irissia prit son nouvel achat entre les bras et se tourna vers la vendeuse.

"Eh bien je vous remercie. Peut-être nous reverrons-nous un de ces jours."

*Peut-être plus tôt que prévu, qui sait.*

Elle ne savait pas pourquoi mais son intuition lui disait qu'elles seraient amenées à se rencontrer à nouveau. D'un geste vague elle fit un signe à Loukas et disparut dans les ruelles du souk.

[==> Librairie]