Le monde, moi et ma fille

La petite Florence semblait ne pas apprécier les transports routiers, en effet les tanguage de la voiture roulant sur les routes pleine de fissure, il fallait l'avouer les routes en asphaltes n'existait plus et celle qui restait n'était plus entretenu et se fissurait avec le temps. Loukas à bord du 4x4, restait tout de même songeuse pendant qu'elle conduisait.

* Ce monde il part en fumé et devient également cendre, la folie des hommes ne changent décidément pas.*

Le paysage désoler et joncher de relique de guerre en ruine, la laissait froide, après tout elle est né dans cet environnement c'était l'habitude de voir ce genre de chose. Mais le chef des Nizârites se demandait comment était le monde avant cette imbécilité de guerre ? Elle aurait aimée voir ce que l'être humain pouvait offrir de meilleur. Loukas se mis à regarder la petite Forence, elle qui avait vécue tant de malheur pendant sa petite enfance à cause de la soif de pouvoir des hommes. Naître sans avoir demander quoi que se soit est une chose normal mais qu'on veuille forcer les gens à faire des choses que pour le pouvoir et l'autorité totale est une chose moins bien.

Loukas regarda la petite sirène et lui dit.

"Les souvenirs sont comme les fantomes, ils sont là mais quand ont crois les saisirs ils s'évanouissent."

Loukas posa une main sur l'épaule de la petite Florence et l'autre main tenait le volant.

"Il y à un fantome que tu devrais laisser partir... Ton père ne voulais que le meilleur pour toi et je ferais en sorte que ceci arrive."

La ville de Barrani était en vue. Mais Loukas ne se dirigeait pas vers elle mais quelque part dans les bois voisins de la ville là où une entrer du repaire des Nizârites se trouve.
Quelques longue minute plus tard, les deux jeunes femmes arrivèrent à cette endroit tenue secret que sûrement personne mis à part certain membre de la secte pouvait connaître une entrée inconnu, fiable mais pas assez.
Loukas s'arrêta devant l'entrer et pris soin de faire sortir florence et de dissimuler la voiture sous quelque feuillage en guise de camouflage, en prenant son temps bien sûr.
La jeune femme finit son travail de dissimulation et s'empressa de venir devant sa nouvelle "fille", oui son enfant car à présent Loukas considérait cette petite comme son enfant au moment où elle foula le sol de ce lieu.

"Prête à rentrer chez toi ?"

Lui dit elle avec un large sourire.

Pendant tout le trajet, Florence ce teint droite, et ce, fortement après son siège ou tout ce qu’elle pouvait mettre la main dessus. Cela faisait un moment qu’elle n’avait plus crier et la peur c’était presque dissipée. Le paysage avait emporté la peur, la remplaçant avec de la curiosité et désarroi. Tous étaient en ruine et la végétation semblait appauvri à un tel point que le sol était constitué de sable et petite roches. De plus, elles voyageaient sur une terre des plus durs et à un drôle d’aspect ternie avec le temps. Florence ne pouvait plus quittez des yeux l’horizon et le paysage désolant, trop absorbée par la soif de la connaissance qu’elle ne remarqua même pas que la douce Loukas la regardait depuis un moment déjà. Certes, elle le remarqua lorsqu’elle s’est mise à parler, qui de plus, s’adressant à elle.

Florence n’y compris pas grand-chose à ses dires, mais lorsqu’elle parla de son père. Elle ne put que baisser le regard, ainsi que la tête pour éviter celui de Loukas, ne voulant pas qu’elle voit la tristesse qui envahissait son regard rubis. Son père lui manquait, et ce terriblement, mais à qui leur père ne leur manquerait pas s’il n’était plus? Il avait tout fait pour que Florence soit heureuse, autant que là-bas, dans les laboratoires, que la libéré avant qu’ils se mettent à l’utiliser pour des fins lucratives. Elle comprit un peu mieux ce que Loukas a tenté de lui faire comprendre, de ne pas vivre dans le passer, ces temps plus ou moins heureux ne reviendront jamais, ainsi que son père. Certes, qu’elle ne devait pas perdre espoir d’être heureuse et d’oublier son père. Une tel personne ne peut s’effacer de la mémoire d’une personne, mais l’honoré après sa mort, cela, oui.

Lorsqu’elle releva la tête, elle vit une ville. Une vraie ville s’étendait devant ses yeux. Elle put s’empêché de la regardé avec des yeux émerveillés. C’était la première fois qu’elle voyait une civilisation humaine aussi importante. Elle était impatiente d’y arriver et de s’y perdre à coeur joie. Cependant, Loukas prit une toute autre direction. Florence fut surprise et prise d’encore plus de curiosité. Si ce n’était pas dans la ville qu’elles allaient, où est ce qu’elles se dirigeaient? Bientôt, elles se retrouvèrent dans une forêt côtoyant la ville. Puis, Loukas arrêta le véhicule et débarqua. Elle vient détacher Florence et l’aida à descendre à son tour. Florence regarda ce qui était l’entré d’une grotte ou de quelque chose du genre. Perplexe, elle tenta d’y voir quelque pendant que Loukas masquait le véhicule avec précision. Rien, elle n’y voyait quasiment rien, certes, sa vue n’était pas adapté à la noirceur terrestre. Toujours aussi perplexe, elle se tourna vers Loukas qui se dirigeait vers elle. Elle lui demanda avec un grand sourire si elle était prête à rentrer chez elle. Toujours aussi perplexe et ne savant pas dans quoi elle s’embarquait, prit de sa main gauche la main droite de Loukas.

« Oui... »

Dit-elle un peu effrayé, se rapprochant de Loukas, un peu fébrile.

Elles pénétrèrent toutes deux dans l'entrée, tenant fermement la main de Florence dans la sienne Loukas avançait dans l'obscurité de la petite grotte. Mais elle n'avait rien à craindre toutes deux après tout personne ne leur ferais de mal en ces lieux.
Au contacte de la main de Florence, Loukas pouvait sentir le désèchement de celle ci.
Il fallait trouver une source aqueuse pour que la petite se réhydratedans très peu de temps, c'est alors que le chef des Nizârites pressa le pas.
Après quelques minutes elles ensemble parvinrent à ce qui ressemblait à la porte d'entrer qui menait je ne sais où.
La jeune femme entrouvrit la porte, mais s'arrêta un moment et regarda Florence. Elle se demanda intérieurement quel petit nom qu'elle trouverait pour sa nouvelle petite fille et en réfléchissant bien elle trouva.

"Je suis contente d'être tomber sur toi ma petite reine."

Elle déposa un baiser sur le front de Florence, affective mais pas trop elle attira Florence dans ce qui semblait être ces appartements.

[=> Chambre de Loukas

Florence suivi Loukas, lui tenant fermement la main, ayant peur d’être laissée derrière, dans l’obscurité. Elle avait toujours un peu peur, mais l’assurance que portait Loukas en ce lieu la rassurait. Certes, depuis un moment, la petite sirène ressentait le manque d’eau. Sa peau se desséchait et elle l’irritait un peu. De plus, sa respiration se faisait un peu difficile, mais elle savait qu’elle pouvait endurer tout ça encore un bon moment et ne voulait pas alerter la gentille Loukas.

Cependant, Florence remarqua que sa nouvelle amie c’est mise à hâter le pas. Elle devait s’être remarqué que la main de sa petite protégé était beaucoup moins humides qu’à l’habitude. Elles marchèrent encore un moment et arrivèrent devant de grandes portes. Le sol était froid, signe qu’elles étaient maintenant profondément dans la terre. L’air était frais et l’endroit était lugubre, mais Florence s’y sentait plutôt bien, cette ambiance lui faisait penser à sa petite grotte au fond du lac d’Opale.

Loukas entrouvrit la porte, laissant pénétrer une faible lueur dans le long passage. Elle regarda un moment la douce Florence et lui donna un petit nom en lui exprimant sa gratitude d’avoir fait sa connaissance. La petite sirène ne put s’empêché de ricané doucement et de rougir face à cela et au baisé qu’elle déposa sur son front.

Par la suite, elles entamèrent un nouveau chemin dans ce lieu à allure étrange.

[==> Chambre de Loukas ]

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» Gareck, La Fin d'un Monde