Découverte

C'était une magnifique journée au lac d'Opale. Le lac était légèrement mouvementé, créant de jolie vague à sa surface bleuté. Le ciel était parsemé que quelques nuages, laissant le soleil chauffé doucement la peau de ceux reposant sur la plage ou des rochers. Cela faisait un moment que Florence prenait un bon bain de soleil, se reposant après avoir aidé une famille de moules à s'installer plus dans le sud. Elle s'étira de tout son longtemps et se mit sur son ventre sur le rocher sur lequel elle se reposait depuis un bon moment.

Elle se releva légèrement, s'assurant qu'elle soit bien seule. Personne n'était en vue et cela faisait même plusieurs heures que personne ne s'était aventuré sur le rivage de ce magnifique lac. Que de grands arbres et du sable fin s'étendait devant elle. Elle donna un coup de queue dans l'eau, s'arrosant délicatement pour l'hydraté, souriant grandement, cela lui faisait du bien. Elle se pencha doucement sur le côté, trempant quelques un de ses doigts fins dans l'eau. Elle ne peu s’empêcher de sourire chaleureusement à son reflet et elle se mit à chanter. L'envie lui prenant tout à coups.

"What would I give to live where you are? What would it take to stay here beside you? What would I do to see you smiling at me? Where would we walk, where would we run, if we could stay all day in the sun? Just you and me, then I can be part of your world..."

Par la suite, elle se releva sur son rocher. Regardant à l'horizon, sentant une douce brise dans sa chevelure rouge. Sa queue trempait à moitié dans l'eau du lac. Elle se mémorisait la scène, voyant à nouveau les images de ce film dans sa tête. Puis, elle se remit à chanter.

"I don't know when, I don't know how, but I know something's starting right now. Watch and you'll see, some day I’ll be... Part of your world!"

Dès qu'elle enclencha la dernière vocale, une grande vague alla se fracasser contre son rocher et l'arrosa pleinement. Tout en ricanant joyeusement, elle replaça ses cheveux qui lui bloquaient maintenant la vue en place.

*Comme dans le film, pensa-t-elle joyeusement, certes Ariel ne c'était pas faites avoir par la vague!*

Loukas pouffa de rire, se retenant pour ne pas rire d’avantage et pour ne point se faire entendre, la jeune femme qu’elle épiait c’était faite tremper par une vague. Elle venait souvent à cet endroit pour se relaxer et échapper à la réalité, dommage que ce n’était pas pour toujours, ayant des responsabilités son devoir passait avant elle.
Après tous elle c’était faite une promesse « les Templiers doivent être tués ! Les ennemis doivent être tués ! » C’est après tout la seule chose auquel elle pensait sans arrêt. Cependant il n’est pas bon de se focaliser sur une seule chose, et quel meilleur endroit que le lac d’opale pour oublier ces désagréments un bref moment. S’étant assise sur la verdure du rivage, elle pouvait épier au loin la jeune femme qui venait tout comme elle aussi souvent mais pour une autre raison. Le chef des Nizârites c’était rendu compte de la « différence » de cette fille, elle était sans doute un de ces nombreux clones échappés des labos des divisions scientifiques de ces chers ennemis.

« Pauvre fille, je peux comprendre ce que tu ressens. » Dit elle à haute voix.

*Oups*

Et oui Loukas venait encore d’oublier de rester silencieuse, elle pria un instant pour que celle qu’elle espionne ne l’ait pas entendu, des ennuis sont si vite arriver.

C'est alors, après quelques minutes que la vague l'avait frappé de plein fouet que Florence entendit un bruit suspect. Elle arrêta de ricané et releva la tête doucement, cherchant de ses yeux rubis d'où provenait le bruit. Elle se positionna de façon à paraître plus imposante, même si son corps frêle démontrait autrement.

"Qu-qui est là, Dit-elle nerveusement, je sais que vous êtes là!"

Elle regarda, passant nerveusement sa main délicate dans ses cheveux mouillés, tout autour d'elle pour découvrir l'endroit d'où le bruit provenait. Son rythme cardiaque s'était mis à augmenter, elle semblait terriblement paniqué, prise d'une peur sans égal.

*Laisse moi sortir! Dit Neptune. Je vais lui faire la peau, tu va voir!*

Cependant, Florence préféra n'en faire qu'à sa tête et plonger dans l'eau. Certes, elle n'est pas allée bien loin. Elle alla se réfugier parmi des algues, bien caché dans les ombres, attendant de voir ou d'entendre une secondes fois ce qui avait causé ce bruit qui l'inquiétait tant.

*Je suis peut-être la plus jeune, rétorqua-t-elle, mais j'ai mes propres ruses.*

Dommage la jeune femme venait de sauter à l’eau… Loukas était vraiment maladroite ces derniers temps, elle se releva et marcha vers le rocher où était Florence. Elle sauta sur le sommet du rocher, enfin si l’on pouvait l’appeler comme sa.
Elle chercha où la jeune femme c’était caché, mais Loukas se dit que puisque c’était un être spéciale, elle devait aussi possédé des aptitudes spéciales, respirer sous l’eau devait être comme respirer à l’air libre pour elle.
Loukas cherchait Florence du regard, la surface de l’eau se miroitant sur son visage pendant un long un moment mettait ces divine et ronde formes forme en valeur.
Elle préféra abandonner, peut être que la jeune femme réapparaîtrait en temps voulu, enfin bon Loukas avait elle aussi envie de se doré la pilule au soleil, mais se serais dommage de le faire seule.
Le chef des Nizârites se pencha à la surface de l’eau et parla assez fort et distinctement espérant que Florence l’entendrait.

« Ce serait dommage de ne plus profité des derniers rayon de soleil, et je n’ai pas envie de rester seule, préféreriez vous restez ainsi jusqu'à ce que je parte ? »

Loukas avait parler, tant pis pour la jeune femme, si elle ne voulais pas se montrer. Elle retira sa veste et la posa sur le rocher et la mis de façon a ce qu’elle serve de serviette sur laquelle elle pourrait s’asseoir et c’est ce qu’elle fit.

De plus loin, ce fut le tour à Florence de l'observer. Certes, sa proposition l'enchantait grandement. Cela faisait un moment qu'elle n'avait pas passé autant de temps au soleil et avait parlé avec une personne qui n'était pas Neptune ou Ursula. Elle regarda l'humaine sur le rocher entouré d'eau du lac. Elle avait fière allure et s'emblait sans peur. Florence avait rarement vue une humaine comme celle-là, elle possédait une caractéristique qui l'attirait, qui l'intriguait plus que tout. Cependant, à cette distance, elle ne distinguait pas grand chose.

Elle plongea donc dans l'eau et s'approcha doucement de la jeune femme qui l'avait interpellé. Florence revint à la surface, à une distance raisonnable pour ne pas être vue, mais cette fois-ci, tout en étant capable de voir l'observée. Cette dernière ce mettait maintenant à son aise sur le rocher. Florence bouillonnait d'envi d'aller discuté avec elle, de discutait avec une véritable personne comme tout les humains font.

*Florence, dit alors Neptune, Si tu ose penser une seule... FLORENCE!*

Trop tard, Florence c'était décidée, elle allait à l'encontre de l'humaine. Depuis trop longtemps elle rêvait de ce moment, de celui que quelqu'un voulait discuter avec elle. De plus, cette personne semblait compatir avec elle et sa douleur d'être seule. Donc, Florence plongea sous l'eau et s'approcha de la dame. Elle émergea dans le champ de vision de l'humain qui c'était présenté. Ses cheveux rouges flottaient à la surface de l'eau, comme une traîne de feu suivant les yeux rubis l'observant avec intrigue. Cependant, un peu timide, Florence avait sorti que la moitié de sa tête, l'eau lui arrivant au niveau du nez. De plus, elle n'osa dire un mot.

Loukas qui se dorait au soleil, remarqua un moment la tête à moitié sortit de Florence elle fit cependant comme si elle ne l’avait pas vue. La jeune femme voulait que Florence puisse voir qu’elle n’avait rien à craindre d’elle, enfin tant qu’elle ne l’observe pas trop.
Enfin le chef des Nizârites, s’assis et rendit le regard profond et pénétrant que Florence lui portant. Elle la toisait avec un air des plis interrogateur, mais elle ne recevrait sans doute aucune réponse à ces questions.

Loukas décida de lui adresser la parole.

« Viens, voyons n’est pas peur je ne te ferait aucun mal. Une si belle jeune femme, je ne porterais jamais atteinte à ta personne. » Dit elle doucement.

Le chef des assassins, approcha sa main de la surface de l’eau, elle y passa ces doigts, lentement et doucement.

Elle lui fit un sourire des plus aguichant, montrant qu’elle n’avait aucune mauvaise intention, quand quelque chose intéressait cette femme décidément rien ne pouvait l’arrêter.
Peut être que sa nouvelle obsession, cette jeune fille satisferait Loukas après tout depuis que sa mère adoptive est morte, elle n’a jamais connue d’autre compagnie plus… amicale, hormis avec Rin Easten.
Embêtant comme situation, mais depuis le temps que Loukas espionnait cette fille, elle avait envie de faire sa connaissance, curiosité oblige. Peut être que la façon d’agir de Loukas prêtait à suspicion, elle pouvait avoir l’air louche après tout.

*Elle est si mignonne.* Se dit elle au fond d’elle.

Florence resta parfaitement immobile, épiant du regard la femme devant elle, voyant pour la première fois de si près une véritable humaine. Plus qu’elle l’observait, plus elle était fasciné et que son regard s’emplissait de questionnement leur donnant une brillance épatante. D’autant plus, Florence ce comparait même un peu à la jeune femme et trouvait plus facilement ses attraits humains et qu’elle n’était pas si différente, simplement, spécial comme lui disait si bien son «père».

Florence allait bouger lorsque l’épiée s’assoie. Le regard pénétrant de florence suivi le corps en mouvement pour tomber dans les yeux bleu immaculé de la dame. Un bleu qu’elle fut surprise de voir, il n’était pas fréquent qu’un humain est une couleur si pur. Puis, elle lui adressa la parole. Florence resta perplexe, alors pourquoi l’observait-elle en cachette si elle ne voulait pas lui faire de mal, voulant simplement de sa compagnie.

*Les humains sont si étranges, pensa-t-elle intriguée.*

*Moi je dis, répliqua Neptune, que tu fais une grosse erreur de lui faire confiance, elle est louche je te dis!*

Puis, une fois de plus, Florence ignora Neptune, comme elle le faisait toujours ces derniers jours, la solitude avait rongée trop longtemps son jeune coeur. Cette dernière continua de regarder la dame sans dire un mot, incertaine de ces prochains actes. Elle la vit se penché au dessus de la surface de l’eau et y passa délicatement quelques doigts dans l’eau, les humidifiant peut-être, Florence aurait voulut lui demander, mais elle préféra rester muette encore un peu.

Elle continua de regarder avec passion les doigts d’une couleur pêche de la dame aller dans l’eau. Florence semblait des plus captivé et fini sa sorti l’une de ses mains de l’eau pour comparer. La sienne était d’un peu la couleur d’une pêche non mur, légèrement griffé et palmé entre les doigts pour facilité les mouvements aquatiques. Puis, elle regarda la main de la jeune femme à nouveau, ramenant la sienne contre elle. De plus, Florence avait sorti complètement sa tête de l’eau lorsqu’elle en avait de même avec sa main.

Puis, tout d’un coup, la jeune femme pu sentir une sorte d’algue lui passer entre les doigts, mais en faite, c’était la queue de Florence. Cette dernière voulait sentir la chaleur que pouvait émaner de la main d’un humain. Elle faisait des petits tours, entourant les quelques doigts mouiller de l’humaine. Le regard de Florence s’intensifiant, comme si la chaleur qu’elle ressentait de ses doigts se reflétait dans ses yeux de couleur feu. Sur le visage de Florence, après peut-être quelques secondes ainsi, put se distingué un léger sourire et entendre un léger ricanement, comme si de bon souvenir revenait à la surface pour cet être isolée qu’elle fut depuis si longtemps. Florence semblait plus calme et serin qu’elle ne semblait l’être il y a une dizaine de minutes déjà. Elle semblait ne plus avoir peur de l’inconnu, de ce monde extérieur eu sien, à l’humaine qui était situer sur le rocher à ses côtés.

Sentant cette légère étreinte sur ces doigts, Loukas frissonna à la sensation nouvelle que lui procurait le toucher de la queue de Florence. La jeune fille semblait vouloir, ressentir une sorte de nouvelle sensation et vu la façon dont elle toisait Loukas, elle devait sans doute se complexer physiquement. Mais le chef des Nizârites voulait pouvoir observer le corps en entier de Florence, mais de façon pas trop brusque pour qu’elle ne prenne pas peur.
Petit à petit avec ces doigts Loukas entortilla la queue de Florence et lentement saisie un bout de sa queue.

*C’est étrange et excitant à la fois.*

Loukas s’agenouilla sur le rocher, elle fit en sorte de sortir la queue de la jeune fille, doucement de l’eau. Pouvant observer la beauté du membre de Florence, Loukas demeura sans voix, elle regarda plus intensément les écaille brillantes sur lesquels se mirait des rayons du soleil, des reflets arc-en-ciel se faisait remarquer c’était sûrement du à cause des gouttelettes d’eau qui ruisselait de l’élégante et humide queue de Florence.
Le chef des Nizârites avançant avec hésitation son autre main libre caressa avec tendresse et découverte Florence, pouvait elle ressentir au niveau de ce membre la chaleur de la main de Loukas, celle ci l’espérait.

Florence, sans se débattre, se laissa prendre ainsi par Loukas. Elle vit cette jeune dame était tout aussi curieuse qu'elle et la délicatesse que la jeune femme prenait pour assouvir cette curiosité toucha la jeune clone. Légèrement pendu de cette manière qu'elle trouvait, certes, amusante, elle regarda Loukas faire. Ses cheveux flamboyant flottaient toujours à la surface de l'eau, le corps complètement sorti de l'eau. Florence fut surpris de la force de l'humaine, mais ce dit que c'était peut-être normal, que tous humains étaient capable de faire ainsi n'ayant jamais été prise ainsi. Puis, elle senti sur sa queue la main de l'humaine, elle ne pu retenir sa bouche fermer, la sensation étant indescriptible. Sa queue tressaillit quelque fois, la dame touchant certainement quelque points sensibles.

Cependant, Florence se fatigua d'avoir la tête en direction de l'eau et regarda Loukas d'un regard brillant. Elle déposa une main et puis l'autre sur le rocher sur lequel se tenait Loukas. Agilement, Florence se hissa, se contorsionnant sur elle même, retournant son dos contre ce dernier. Elle déposa, par la suite, ses mains sur les genoux de Loukas. Ce qui amusait encore plus Florence c'est que l'humaine lui tenait encore sa douce queue. Remarquant qu'elle était à présent un peu trop basse pour pouvoir arriver là où elle voulait dès le début, Florence étira un bras pour aller agrippé sa queue et se hissé plus haut. Elle opta s'empoigné sa queue au même endroit que Loukas, croisant quelques doigts de cette dernière.

Hisser maintenant au niveau du visage de Loukas, Florence porta une main sur le visage rayonnant de cette dernière. La douceur et la chaleur d'un corps humain, comme elle avait manqué cette sensation. Un sourire s'esquissa sur le doux visage de Florence alors qu'elle approcha son visage de celui de Loukas. Elle s'appuya sur son épaule et bientôt l'autre main alla se posé sur sa jumelle. Florence approcha ses lèvres pêches de la joue de l'humain et y déposa un baisé chaleureux. Puis, se baissa au niveau du cou de Loukas. Elle ouvrit la bouche et sorti une longue langue rose foncé au légère teinte de vert foret au fond de la bouche de la jeune clone. Elle mesurait près de 20 centimètres et ce n'était que la parti sorti de sa bouche. Elle déposa dans le décolleté de l'humaine et cette dernière, ayant passé au préalable dans le cou, finissant son trajet à l'oreille gauche de Loukas. Florence ne pu s'empêché de sourire grandement, ses yeux brillant de gaieté, trouvant le goût de la dame plus qu'intéressant, elle se sentait de plus en plus ai l'aise avec elle.

Loukas se sentit toute chose quand Florence, commença à essayer de la « connaître », le chef des Nizârites se demanda si elle était juste audacieuse ou si elle n’avait pas l’habitude des relations avec d’autres être humain. C’était impressionnant, la langue de la jeune fille est démesuré, mais comme c’était excitant de sentir frémir son corps lécher de la sorte.
C’était au tour de Loukas, elle lécha Florence aux mêmes endroits qu’elle dont elle avait eu l’audace d’explorer avec sa langue et elle s’attarda d’avantage sur sa poitrine. Le chef des Nizârites lécha les lèvres de Florence, peut être pensait elle que c’était comme sa qu’elle pouvais comprendre qu’elle n’avait rien à craindre de Loukas.

La jeune femme décida de prendre la parole.

« Qui est tu, quel est ton nom » dit elle d’une voix suave et pleine de douceur.

Loukas se rapprocha de un peu plus de Florence profitant du fait qu’elle devait être plus en confiance. Elles sont face à face, Loukas la scrutait comme un cadeau prêt à être déballé, preuve de l’intérêt qu’elle lui portait.

Quand à Florence, elle ricana doucement sous la délicatesse que lui porta Loukas, lui remettant ce qu'elle lui avait donné. Cependant, ce qui la surprit fut l'attention qu'elle porta à ses lèvres. Si douce et attentionné, elle ne pu s'empêché de se sentir rougir légèrement, même Florence n'aurait osé ce mouvement. Elle la regarda encore un moment, jusqu'à ce que la dame lui reparle enfin. Florence commençait à se demander si elle ne lui avait pas voler sa langue sans le faire exprès. Elle lui demanda qui elle était de plus de son nom. Elle s'approcha de Florence, impatiente de savoir, savant que la jeune clone devant elle lui faisait plus confiance que son fort intérieur ne voulait. Florence souri chaleureusement, les yeux brillant de bonheur.

*Florence, si tu lui di je, rétorqua une fois de plus Neptune, de plus en plus en colère contre la jeune femme, mais elle ne fit la sourde et lui répondit tout de même.

"Je me nomme Florence!"

Puis, Florence lui donna un court baisé sur le nez avant de se laisse balancer par la poigne que Loukas la tenait. Elle bougea, contorsionna sa queue dans tous les sens possible pour enduire la main de Loukas d'une huile adoucissante qui pu permettre à Florence de glisser et de plonger dans l'eau. Elle alla profondément dans l'eau, se reculant pour prendre un élan. Elle revint à une grande vitesse et sorti de l'eau, faisant un saut digne d'un dauphin par dessus Loukas et son rocher.

"Une sirène!" Lui dit-elle encore dans les airs.

Puis, elle replongea dans l'eau avec grande élégance. Elle resta quelques instant de plus dans l'eau, s'hydratant la peau et se rafraîchissant sa chevelure qui avait eu le temps de perdre son humidité. Par la suite, elle revint à la surface en grand splash, s'assurant d'avoir envoyé des gouttelettes sur l'humaine pour la rafraîchir de cette chaude journée. Florence alla sur la parti basse du rocher, la parti la plus accidenté vers l'eau et y monta, s'y coucha sur le ventre, se tenant la tête, la queue à l'eau faisant quelque fois des clapotis.

"Et toi?" Dit-elle avec des yeux doux et une voix angélique.

Amusée et émerveillé par le petit spectacle de Florence, Loukas a moitié trempée ne broncha pas et resta la à regarder Florence faire son petit numéro qui était plaisant tout de même.

« Je suis Loukas. » Dit elle, et plus formellement elle répliqua « Loukas Heartnet ».

Voilà, elle c’était présenter toutes les deux en bonne et du forme, le chef des Nizârites avait beaucoup de question à posée, mais peut être que ce n’était pas le moment.
Loukas se déshabilla, lentement retirant chaque vêtement avec parcimonie, elle se retrouva nu puis elle plongea à son tour dans l’eau.
Elle voulait après tout se mettre au même niveau que Florence, lui prouver qu’elle ne devait pas avoir peur d’elle, même si elle avait confiance. Loukas refit surface là où Florence c’était couché, elle nagea sur place mais après un petit moment et alla quand même s’accrocher à la partie accidenté du rocher où se trouvait sa compagne du moment.
Une foule de question chamboulait la tête du chef des Nizârites, mais une seule avait une grande importance.

« Mais d’où vient tu ? » Dit elle tout en regardant Florence dans les yeux d’un air interrogateur.

Et une fois de plus, l'humaine la surprit. Elle avait enlevé ses vêtements et plongea dans l'eau, se mettant au même niveau que Florence. Elle en fut bouchée pendant quelque temps, regardant Loukas nager comme elle le faisait dans l'eau du lac. Cette dame était tout ce que Florence avait vu chez les humains, du moins, les gentils. Elle avait rencontré au paravent quelques enfants et avaient joué eux. Elle avait aussi rencontré un jeune homme, mais cette rencontre là ne fut pas aussi fructueuse.

Florence regarda Loukas venir s'accrocher au rocher, elle devait s'épuisé plus vite nageant avec seulement ses deux jambes. Les deux dame se regardèrent dans les yeux avant que l'humaine se décide de lui posé une question, une qu'elle n'aurait dut poser. Florence regarda alors ailleurs, un regard bien triste sur l'horizon. Elle monta, avec l'aide de ses bras et d'un bon battement de queue, sur le rocher. Elle s'y assoie, prenant sa queue dans ses bras, son collier de perle pendant. Elle regarda, un regard presque livide l'eau entourant du lac. Elle prit une grande respiration et répondit à Loukas.

"Même moi, je me pose cette question..."

Elle s'assoie plus convenablement sur le rocher et prit ses cheveux. Elle se mit à jouer avec, se distrayant ou évitant de reposé un regard sur l'humaine pataugeant dans l'eau.

"Je sais seulement qu'il n'y aura plus personne qui m'y accueillera, bras ouverts."

"Je sais seulement qu'il n'y aura plus personne qui m'y accueillera, bras ouverts."

Au moment où Loukas entendit c’est parole, le cœur du chef des Nizârites serra, le geste qu’elle fit et qui amena sa main droite à sa poitrine le prouva. Une question de plus brûla les lèvre de la jeune femme, elle voulais lui demander qui était bien cette personne qui l’accueillait de la sorte la où elle habitait.
Cependant Loukas doutait que Florence soit une véritable sirène, après tous ce ne serait pas étonnant qu’elle soit le fruit d’une des expériences bizarres des templiers. Le chef des Nizârites n’avait pas la langue dans sa poche Florence l’apprendrait d’elle même, après tout Loukas s’intéressait suffisamment a elle pour trouver certaine similitude à leur situation.
En effet la jeune femme se reconnaissait dans les yeux de la jeune fille, elle était comme elle à une époque, se rappelant comment elle volait, mendiait, les autres habitant de sa ville natale Barrani l’avait isoler faisant d’elle une pariât. Sa mère adoptive lui manquait terriblement, elle se demande comment sa aurais été si elle était encore envie ? Serait elle chef de la secte des Nizârites en ce moment ou simple couturière ? Le destin est une chose bien étrange se dit elle.
Enfin il fallait en revenir à Florence et Loukas avait une dernière question a lui poser, mais ce serait quand même oser de sa part.

Elle s’y risqua.

« Tu n’a donc personne qui veille sur toi ? Je pourrais m’occuper de toi si tu le désire. »

Loukas fut très impulsive dans sa demande.

Florence regardais encore sa queue lorsque de la question que la douce Loukas lui posa. Son regard s'assombri encore plus. Les autres qui s'occupait d'elle n'ont jamais fait attention à elle autant mentalement que physiquement. Cependant grâce à son «père», si elle perdait une seule écaille qu'il n'était pas nécessaire d'enlever, il se mettait à les engueulé comme jamais il n'avait été.

«En quelque sortes, oui.»

Elle faisait allusion à Neptune et Ursula, mais aussi à ;'âme de son «père» qui veillait sur elle de là-haut. Puis, Loukas poursuivi avec une ferme intention qui surprit grandement Florence. Elle se retourna vers la jeune dame, les yeux brillant d'une lueur d'espoir. Elle se défie de sa position principale pour s'écrasé sur son ventre, prenant les mains de Loukas dans ses siennes. Cependant, Florence c'était élancé trop rapidement et tomba à l'eau en poussa un petit cri de surprise. Elle revient à la surface, une expression de gêne habitant son doux visage vert d'âtre. Elle lui prit finalement les mains dans les siennes, une expression de bonheur absolue sur son visage.

«Si... Si je le désir?! C'est ce que je souhaites le plus au monde!!»

Dans un élan de joie, Florence s'élança sur Louka et l'enlaça fortement. Florence trouva cette enlacement particulière, elle n'avait jamais été aussi proche du corps d'une femme et la sensation de la poitrine plutôt volumineuse de cette femme lui fit bizarre, habitué à celle d'un homme, de son «père». Elle passa par dessus cette différence et relâcha Loukas en lui reprenant les mains. Sur le point de pleurer, elle exprima sa gratitude.

«Merci Loukas, tu ne sais à quel point ton offre me redonne espoir, le goût de vivre, de voir qu'il y ait des personnes sur ces terres qui sont assez généreux pour porter secours à autrui. Merci, merci mille fois!»

Nombre de messages : 12 Date d'inscription : 28/01/2007

Malgré la proposition de Loukas, qui semblait réjouir on ne peut mieux Florence, une atmosphère quelque peu pesante règnait, sûrement leur intuition féminine qui les avertissait d'une quelconque bizarrerie aux alentours du lac. Non loin de là, quelqu'un ou quelque chose semblait les observer depuis environ cinq bonnes minutes. Placé à une vingtaine de mêtres, caché derrière les prohéminences que fournissait Gaïa, on les observait. L'une ou l'autre découvrit cela, et la chose s'enfuya sans attendre quoi que ce soit. Seule la couleur blanche sera remarquable sur le fuyard, la taillle, la corpulence et les détails physiques ne pouvant pas être remarqués à cette distance avec autant d'obstacles.

La jeune femme souris, après tout elle semblait reproduire l’histoire comme avec sa mère adoptive Loraine et peut être que Florence voudrait apprendre à coudre comme elle le lui avait appris. Loukas commençais à ce faire plein de film dans son esprit, une femme aussi tordue qu’elle était aussi capable de geste de bonté et d’amour, un regard joyeux et plein de bonheur était porter sur Florence qui semblait être aux anges…. Quand tout fut chamboulé quand le chef des Nizârites entendit des pas au loin. Etant en petite tenue et désarmé elle se trouvait en fâcheuse position, elle fit en sorte de faire Florence relâcher son étreinte sur ces mains et ce hissa hors de l’eau en prenant appuie sur le rocher où était assise la petite sirène.
Très rapidement elle se saisit de son 454 Casull et se mis sa veste sur le dos, pendant un long moment elle chercha du regard dans le paysage qui pouvait bien faire ce bruit, Loukas était une femme prudente après tout. Elle aurait pu penser que c’est un petit animal qui faisait du bruit, mais la forme blanche qui semblait prendre le large en disait long.

*Encore un voyeur, ils sont légions dans les environs ?*

La jeune femme ne pouvait se permettre de partir a la poursuite du fuyard dans sa tenue actuelle, c’est pour cela qu’elle revint vers sa petite sirène adoré. Marchant d’un pas lent et assuré, elle pris quand même le temps de regarder Florence et lui adresser un petit sourire.
Enfin voilà, il était temps de partir et Loukas veux emmener sa petite sirène avec elle, accepterait elle de venir avec elle et est ce qu’elle peu l’accompagner ? Sa se sera à Florence d’y répondre.

Le chef des Nizârites s’adressa à sa nouvelle petite protéger.

« Alors veux tu venir avec moi ? et même si je dois te porter ce ne sera pas un problème. »

Elle dit cela, mais on ne peu vraiment pas arracher un poisson à son océan.

Florence devint inquiète lorsqu'elle vit Loukas se défaire et alla prendre son arme, le pointant sur le boisé de la rive. Elle la regarda prendre toutes ses précautions, l'admirant dans sa bravoure et témérité. Florence l'envia, si ça n'avait été que d'elle, elle se serait cachée bien loin dans l'eau du lac.

« Lou... Loukas? » Dit-elle d'une voix fébrile.

Cette dernière fini par ranger son arme et se retourner ver elle. La jeune sirène fut soulager de voir un doux sourire sur ses lèvres, elle s'était vraiment inquiété de la situation, elle ne voulait pas Neptune sort de sitôt. Florence regarda Loukas s'approcher d'elle et elle lui demanda si elle voulait vraiment la suivre. La jeune demoiselle qu'était Florence ne put contenir son petit rire moqueur. Elle se tourna vers le rebord du rocher et fit tomber sa queue dans l'eau. Elle s'y trempa même jusqu'à la taille. Elle se retourna sur elle même pour s'y hisser et revenir sur le rocher. Cependant cette fois-ci, ce ne fut pas une queue orangé qui sorti de l'eau, mais une pair de douce jambe rosé vert d'âtre. Elles étaient longues et fines, donnant une toute nouvelle perspective à l'être qu'était Florence. Certes, il y avait deux petits détails. Le premier, Loukas pu s'en apercevoir facilement, Florence était sans vêtement, mise appart son collet d'algue et son long collier de perle pendant à son cou. Le deuxième, Florence lui fit parvenir immédiatement.

« Je serai honoré de te suivre Loukas. Cela fait des années que je rêve de ce moment, de vivre comme mon «père» vivait. Mais, là où est ce que nous allons, est qu'il y a de l'eau? Parce que même si je suis capable de te ressembler physiquement... Bien... »

Florence parut tout à coup timide et prise de gêne. Comme si elle avait honte de ce qu'elle était et le fardeau qu'elle était.

« Je reste tout de même une sirène... »

Et ce fait était grandement dangereux pour la petite. Son «père» lui avait prévenu de jamais manquer d'eau. Certes, l'ayant pleinement écouté, elle ne sait pas ce qui lui risque d'arriver si elle fini par en manquer.

En effet c’était un problème, comment faire pour que la jeune fille spéciale qu’est Florence puisse passer inaperçu. Après tout une jeune fille nue n’échappait aux yeux des vicelards du pays, peu après que Florence eu régler le problème de « transport » elle souleva un point important, il faudra l’hydrater souvent.
Loukas ricana un moment, elle était après une femme puissante et avec des ressources importantes, Florence n’avait pas à s’en faire après tout.

« Ne t’inquiète pas ma petite, j’ai tout ce qu’il faut pour m’occuper de toi. » Dit elle avec un regard complice qui s’en suivit d’un clignement de l’œil.

Heureusement Loukas avait tout prévue pour sa petite balade elle alla chercher, quelque chose quelque mètre plus loin. Puis quelques minutes plus tard elle revint avec un sac, quand elle se retrouva devant florence elle sortit de son sac un manteau, d’un tissu assez dense et de couleur beige se confondant presque avec la couleur du sable.
Et d’un air détaché de tout le chef des Nizârites tendit le manteau à sa nouvelle connaissance, en effet Loukas tenait à ces vêtements et ne les prêtait que rarement, mais la il semblerait qu’elle veuille faire un geste de bonté.

« Tient je te la donne, prend en soin je l’ai cousue moi même. »

Puis elle tourna le dos à Florence et alla chercher le reste de ces affaires et se rhabiller.

*Bon nous allons toutes deux nous envoler.*

Florence fut gênée du début à la fin. Elle prit le manteau avec ses mains légèrement vêtu d'écaille. Le regarde brillant, elle regarda ce vêtement ressemblant au doux sable chaud. De plus de cette ressemblance à l'oeil, il l'était même au toucher. Florence leva la tête, les yeux scintillants, tenant le manteau proche d'elle. Elle ouvrit la bouche, mais pas un son sortir, elle ne trouvait aucun mot à dire. Même le plus simple des mercis qu'elle pouvait dire lui semblait terne et sans intérêts à dire tellement sa joie était grande. Cependant, elle ne trouvait rien d'autre. Elle souri chaleureusement et la remercia du ton le plus chaleureux et joyeux qu'elle ne dit depuis bien longtemps.

«Merci Loukas!»

Elle enfila le manteau avec maladresse et fini par s'emmêlé les nageoires plus que rien. Elle interpella Loukas d'un voix honteuse, prise dans le manteau n'étant pas habitué au vêtement humain.

«Loooooooukas?»

Elle attendit que cette dernière se retourne vers elle pour continué.

«Je suis prise...»

Pauvre petite… Loukas pensait bien qu’elle devrait apprendre bien des choses à la petite Florence.
Après tout cette jeune fille avait du vivre dans l’isolement le plus total et chaque minute de liberté est une nouvelle expérience pour elle. Le chef des Nizârites se dirigea vers sa nouvelle protéger et s’empressa de l’aider à se défaire de ces liens du moment.
Loukas se mis à glousser a chaque fois qu’elle démêlait le manteau du petit corps de Florence, quand elle eu fini de défaire le manteau du corps de la jeune demoiselle, le chef des Nizârites pris son temps pour habille Florence de façon correcte.

« Retient bien comment je t’ai fait enfilé ce manteau. »

Loukas regarda sa montre dans sa veste et resta dans le vague un moment.

« Il serait peut être temps d’y aller. »

La jeune femme mis son bras autour des frêles épaules de Florence et l’attira au loin où elle retrouverait son moyen de locomotion.

Florence avait regardé attentivement tous les mouvements de Loukas, voulant ne plus se prendre dans ce manteau comme dans un filet de pêche. Elle fut autrement gêné, incapable de s'habiller seule, quelle honte. Son père le faisait sans cesse et se sans l'aide d'autrui, alors pourquoi Florence en était incapable, enfin pour le moment. Elle se senti rougir lorsque Loukas la sermonna un petit peu, voulant s'assuré qu'elle pourra le faire par elle-même dans le futur.

Pendant que Loukas alla regarder l'heure sur sa montre, Florence s'approcha de la surface de l'eau et regarda sa réflexion sur cette dernière. Elle faisait classe, elle ressemblait encore plus à une humaine avec cette paire de longues jambes et se manteau recouvrant son corps vert d'âtre et rosé. Elle ne put s’empêcher de sourire et de penser à son «père», à lui et aux commentaires qu’il dirait.

*Que tu es jolie ma petite fleur! Comme tu as grandi, regarde toi, tu es simplement radieuse!... Comme tu me manques papa...*

Florence se retourna et entendit parler Loukas de temps. À peine eut-elle le temps d’analysé ses dires qu’elles étaient déjà à la recherche de quelque chose. Loukas, ayant entouré de son bras Florence, marchait d’un bon pas dans une direction bien précise. La petite sirène était des plus confuse, où allait-elle, comment, pourquoi avec-t-elle parler de temps? Était-elle en retard, avait-elle quelque chose d’important à faire et Florence l’avait mit en retard? La petit se mit à se culpabilisé, prenant pour acquis ses suppositions.

«Où allons-nous Loukas? J’espère de ne pas avoir gâchis tes plans...»

Loukas Souris à Florence et lui dit ceci.

« Nous allons chez nous. »

Le chef des Nizârites plaça son bras sur l’épaule de sa jeune protégée entourant cette partie de son corps amicalement. Maintenant il était important que ces deux femmes rentre de suite à leur maisonnée, Loukas se doutait que la traverser de la région pourrait déshydrater Florence, c’est pour cela qu’elle pressa le pas mais trop.

« Et ne dit plus de sottises Florence. Tu ne gâche en aucun cas mes plans, tu les as changé et en bien. »

Après tout c’était vrai, maintenant Loukas avait quelqu’un avec qui s’amuser dorénavant, la petite sirène ne savait pas à qu’elle point elle changera le quotidien de la jeune femme.
Elles se rendirent là où le 4x4 de Loukas était garé, moyen de locomotion rare de nos jours qu’elle à pu se procurer grâce à quelques malversation dans le passé.
Loukas installa Florence au siège passager et lui boucla sa ceinture, elle sauta directement au siège du conducteur en faisant un large bon.

« Prête ? »

Le chef des Nizârites regarda la jeune fille qui semblait n’avoir jamais vu ce genre d’engin. Enfin elle démarra sur le champ n’attendant pas la réponse de Florence.

[=>Repaire des Nizârites]

Florence suivi Loukas sans trop se poser de question, cette femme était adulte et savait là où ce trouvait leur demeure. Certes, Florence eu peur de la durée du trajet. Elle ne pouvait tout de même passer des jours hors de l’eau. Elle la suivi, proche d’elle, légèrement timide. Loukas se dirigeait avec fermeté vers un endroit précis et Florence découvrit bien vite pourquoi. Un engin terrifiant à allure robuste se trouvait un peu plus loin. Les yeux de Florence s’agrandi, la pauvre était terrifiée.

Elle mit les freins dès qu’elle eu conscience des intentions de Loukas, la faire monter dans cette bête. Certes, le combat ne dura pas longtemps que la chef des Nizarites gagna et l’installa abord, l’attachant avec un système que Florence n’était point habitué. Elle tenta de se défaire ainsi que se débattra, mais en quelque secondes, Loukas était déjà derrière le volant et lui demande, plus ou moins, si elle était parée.

Encore plus terrifier de la suite, elle n’eu le temps que d’ouvrir la bouche que Loukas démarra en vitesse en direction de la nouvelle demeure à Florence. Cette dernière émettrait déjà des cris de peur et d’effrois seulement du aux bruits du moteur et à la vitesse que le 4x4 possédait.

[=>Repaire des Nizârites]